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Déclaration Universelle des Droits de l'Homme: Article 19: "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.". ''La liberté saine qu'on accorde aux autres c'est aussi de la liberté qu'on s'accorde''
À LIRE ET RELIRE
La dernière dynastie impériale, les Qing (la dynastie d'origine mandchoue qui régnait sur le pays depuis 1644), a connu une période de déclin durant la phase d’expansion coloniale des pays occidentaux, menant le pays de défaite en défaite à partir des guerres britanniques de l'opium. On nous fait croire que la Chine s'est libérée des interventions étrangères tout comme on nous fait croire que le Canada n'est plus une colonie britannique.... pourtant JAMAIS L'ANGLETERRE NE DONNERA LA SOUVERAINETÉ AUX PAYS QU'ELLE A CONQUISE PAR LA FORCE MILITAIRE, mais elle va faire semblant pour éviter de centrer la haine mondialement sur elle. La Chine n'est pas une puissance militaire donc elle est dominée par les États Conquérants du G-7.....
Vous n’êtes pas un peuple de fourmis ni d’abeilles de la reine britannique.
Chinois : vous êtes un peuple magnifique et dès plus humaniste.
Rayonnez sur le monde et montrez le bon exemple d’un peuple qui a su reconnaître la puissance du Partage et la bonne convivialité grâce à son alimentation pacifique.
Les enfants Chinois, Indiens, Arabes, Anglais ou Français… et leurs parents ont d’abord TOUS des besoins de bases, des besoins environnementaux et écono-socio-politiques que nos États doivent pourvoir… avant nos idéologies du mérite, avant nos hiérarchies salariales, avant les demandes des plus agressifs ou des mieux syndiqués, avant…..
7 milliards d’humains qui ont tous les mêmes besoins de bases et les mêmes droits économiques et sociaux
Avant d'aller plus loin, considérons au moins cela
QUAND LES DRAGONS FAISAIENT LE COMMERCE D’ESCLAVES
L’Angleterre utilisait des bandes criminelles pour terroriser les montagnards et les contraindre è venir s’établir en ville et /ou pour en faire des esclaves et ce commerce était très lucratif.
Dragon = populations autochtones envahies par les victorieux envahisseurs étrangers (conquérants)
Les Dragons n’ont jamais existés. Mais alors de quoi s’agissait-il ?
Ces animaaux mystérieux et ces monstres qui dévastaient les populations, mettaient à feu et à sang les villages, tuaient femmes et enfants : les populations terrorisées les appelaient bien des noms comme ‘’le diable’’, ‘’le mauvais esprit’’, ‘’dragon’’….. mais en réalité, il s’agissait d’humains, de groupes de pilleurs et d’assassins aux soldes d’États conquérants et sanguiinaires. Plus tard, on les appelait ‘’pirates’’ et aujourd’hui on les appelle ‘’motard’’ ou ‘’mafias’’ ou terroristes-militaires-de-la-reine …..
Il n’y a pas de forces de l’Ombre ni de dieux guerriers, ni jamais eu de dragons ou d’invisibles forces négatives : il n’y a eu que des brigands qui se sont érigés au-dessus de leurs populations et qui les ont poussées à faire des choses horribles par manque de connaissances et de sagesse. Puis pour se faire pardonner, ces Dirigeants ignares ont accusés les mauvais esprits, des dragons d’avoir tout mis à feu et à sang et d’avoir tuer femmes et enfants, et toutes sortes de monstres car il n’y avait que des monstres pour faire de telles horreurs… « Personne n’est coupable, vous êtes contents ».
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Je vous amène quelques petits rappels historiques juste
aux fins qu’on ne perpétue plus les erreurs du passé :
mais pour cela il faut bien connaître son passé.
LA GUERRE DE L’OPIUM
OÙ L’ANGLETERRE VEUT OBLIGER LES CHINOIS À ACHETER SON OPIUM
Le 20 juin 1837,Victoria (18 ans) succède à son oncle Guillaume IV sur le trône du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande.
Tout va changer pendant les 64 années du règne de Victoria. À la veille de sa mort, la monarchie sera à son zénith et la reine, devenue immensément populaire, à la tête de la première puissance mondiale et d'un empire étendu sur le quart de la planète. Aussi ne faut-il pas s'étonner que l'époque ait été qualifiée de «victorienne» !
Le règne de Victoria est ponctué par de nombreuses guerres coloniales, dans le but de conquérir de nouveaux territoires ou de mettre à la raison les indigènes des colonies existantes.
De 1791 à 1894, le nombre de plantations d'opium dans les colonies Britanniques concédées passa de 87 à 663 sous la surveillance de La Couronne britannique. Cela conduisit finalement aux guerres d'opium en Chine. D'autres banques britanniques mêlées au trafic de drogues étaient : The British Bank of the Middle East, Midland Bank, National Westminster Bank, Barclays Bank, The Royal Bank of et Baring Brothers Bank. Toutes ces banques sont reliées par le "Comité des 300" aux banques Rothschild". Mission" dont la tâche principale était de rendre dépendants de l'opium des travailleurs chinois pauvrement payés et de créer ainsi un marché pour écouler leur marchandise.
Preuves et documents originaux à l'appui, le "Times" affirma que la reine Victoria et son entourage (par ex. les familles Churchill et Rothschild) commandaient régulièrement d'assez gros paquets de cocaïne, d'héroïne et d'autres stupéfiants dans une pharmacie des Highlands. Les pièces justificatives de la pharmacie montrent que les personnages royaux et leurs invités fournis régulièrement et en grosse quantité en solutions de cocaïne et d'héroïne". La maisonnée royale dans sa résidence Balmoral (en Ecosse) avait en permanence assez de cocaïne et d'héroïne pour maintenir dans les hauteurs toute une vallée écossaise des Highlands".
La première guerre de l'opium fut un conflit motivé par des raisons commerciales entre le Royaume-Uni et l'empire Qing en Chine de 1839 à 1842.
Au terme de la première guerre de l'Opium, déclenchée pour défendre les intérêts ... La reine Victoria y aura recours en 1853 lors de son accouchement.
La reine Victoria, cette reine narcotrafiquante, avait imposé l’opium à coups de canon. La Chine fut transformée en une nation de drogués au nom de la ...
La Compagnie des Indes Orientales, fondée en 1599 par la reine Élisabeth d’Angleterre, ... transformé en opium, était échangé contre du thé en Chine, ...
Quand cette jeune reine de 18 ans entame son règne, la monarchie anglaise .... Il y a ainsi les guerres de l'opium à la suite desquelles la Chine dût ouvrir
Une monarchie discréditée
Le 20 juin 1837,Victoria (18 ans) succède à son oncle Guillaume IV sur le trône du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande.
Quand cette jeune reine de 18 ans entame son règne, la dynastie des Hanovre (plus tard Windsor) semble discréditée par la longue folie du roi George III et les frasquesde ses deux fils et successeurs, George IV et Guillaume IV, ce dernier affichant pas moins de dix enfants illégitimes.
Une monarchie épanouie
Peu après son accession au trône, la jeune reine décide sur un coup de foudre d'épouser son cousin, le prince allemand Albert de Saxe-Coburg-Gotha. Celui-ci, qui a l'âge que Victoria, n'éprouve pas la même passion amoureuse, du moins au début de leur union, mais il joue à la perfection son rôle de mari et de prince consort.
Albert, Victoria et leurs neuf enfants vont offrir au peuple britannique l'image idéalisée du bonheur conjugal. Luthérien pieux, Albert importe à la cour des moeurs austères qui donneront à l'ère victorienne une réputation exagérée de pruderie.
La famille royale et la monarchie atteignent le summum de leur popularité lors de l'inauguration de l'Exposition universelle de 1851, sous le Crystal Palace, une magnifique construction aujourd'hui disparue.
Une monarchie austère
Le bonheur de Victoria prend fin en 1861 avec la mort prématurée d'Albert, victime de la fièvre typhoïde. Prenant définitivement le deuil, la reine s'isole du monde, jusqu'à susciter parfois des rumeurs malveillantes dans l'opinion publique.
La Grande-Bretagne n'en poursuit pas moins SES CONQUÊTES dans le Monde Entier.
Quand la vieille reine s'éteint le 22 janvier 1901, la plupart des familles royales d'Europe pleurent une aïeule. Il est vrai que sa nombreuse progéniture a essaimé dans toutes les cours, lui valant le surnom de «grand-mère de l'Europe».
Son fils et successeur, le populaire Édouard VII (60 ans), amant heureux et bon vivant, va secouer le corset puritain dans lequel se débat Merry England. Le souvenir du prince Albert s'estompe. Bientôt, on s'étripera dans les tranchées.
La reine Victoria était considérée comme une femme froide et dure. Plein de livres l’ont taxée de ‘’droguées’’ mais sans jamais bien nous expliquer pourquoi. En fait, c’était toute une société qui l’était, qui était droguée et obligée de l’être
Au nom de l’Économie du XV111ième siécle, ce pays conquérant a été jusqu’à droguer sa population, ses militaires, nous dit de nombreux livres sur le sujet.
Le trafic d’OPIUM que l’Angleterre opérait (la reine Victoria) sur la Planète
Pour droguer leurs militaires, les stimuler…..
Le trafic d'opium de la famille royale anglaise au 18ème siècle
Avant d'entamer ce sujet sur l'Angleterre, clarifions, d'abord, quelques concepts.
Le trafic d'opium de la famille royale anglaise au 18ème siècle
La "REINE " est le chef de la famille royale anglaise et de l'Empire colonial britannique, avec Londres comme capitale, régi par un Premier ministre et un cabinet d'étroits collaborateurs.
La "REINE " est le chef de la famille royale anglaise et de l'Empire colonial britannique, avec Londres comme capitale, régi par un Premier ministre et un cabinet d'étroits collaborateurs.
A Londres se trouve, cependant, comme à Rome avec le Valican, un Etat séparé, indépendant, la "CITY ". La "CITY ", qualifiée comme le "mile carré" le plus riche du monde, occupe au coeur de Londres 2,7 kilomètres carrés. Elle passe pour avoir 4.600 habitants et 500.000 emplois.
Le gouvernement de la "CITY " c'est la "COURONNE ", composée de 13 hommes régis par le roi de la "CITY ", le "LORD MAYOR". C'est là que se trouvent les plus riches et les plus puissantes institutions économiques d'Angleterre, comme la Banque d'Angleterre contrôlée par Rothshild, la Lloyd's of London, la Bourse de Londres, les bureaux de konzerns commerciaux à la renommée internationale ainsi que la "Fleet Street ", le coeur du monde de la presse et de l'édition. La "City " ne fait pas partie de l'Angleterre. Elle n'est ni sous le contrôle de la monarchie ni sous celui du Parlement britannique. La "City " est le véritable gouvernement de l'Angleterre puisque la reine comme le Premier ministre relèvent du "Lord Mayor" et lui obéissent : le Premier ministre et le cabinet font croire qu'ils dirigent le jeu alors qu'ils ne sont, en réalité, que les pures marionettes de la "City ".
Quand la REINE rend visite au LORD MAYOR, celui-ci vient l'accueillir au "Temple Bar", porte symbolique de la ville. Elle s'incline et demande la permission d'entrer dans son Etat privé souverain. Il lui accorde l'entrée en lui présentant l'épée de l'Etat. Lors de telles visites d'Etat, LORD MAYOR est d'autant plus rayonnant dans sa robe d'apparat que la tenue "de service" de la suite royale est modeste. Lorsqu'il accompagne ensuite la reine à travers la ville, celle-ci marche à deux pas derrière lui.
C'est à William Paterson qui était un "agent de la City" que nous devons la fondation de la "Banque d'Angleterre", comme nous l'avons déjà vu. D'après les explications de Des Griffin, la CITY est contrôlée par l'empire Rothschild mis en place par la Couronne d'Angleterre évidemment.
Pour éviter des malentendus, il nous faut savoir qu'il existait en Grandc-Bretagne deux empires qui agissaient séparément. L'un fut l'Empire colonial britannique sous la direction de la famille royale, l'autre l'Empire de la Couronne. Toutes les colonies peuplées de blancs (l'Afrique du Sud, l'Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada) étaient sous l'autorité du gouvernement anglais. Toutes les autres colonies(l'Inde, l'Egypte, les Be rmudes, Malte, Singapour, Hong Kong, Gibraltar et les colonies d'Afrique centrale) étaient la propriété privée de la Couronne, désignées comme les colonies de la couronne. (49)
Cela ne signifie pas, cependant, qu'il n'y avait pas de coopération. En agrandissant ses colonies anglaises, la compagnie britannique EAST INDIA MERCHANT COMPANY (BEIMC) accumula une fortune géante grâce au trafic d'opium. La BEIMC fonda l' "Inland Mission" dont la tâche principale était de rendre dépendants de l'opium des travailleurs chinois pauvrement payés et de créer ainsi un marché pour écouler leur marchandise. La famille royale britannique se félicita tant et si bien de ces immenses profits qu'elle se mit à coopérer avec la BEIMC. La maison royale se mit à imposer les producteurs d'opium en Inde. Des quantités colossales d'opium furent embarquées en partance des Indes sur les "China Tea Clippers" et 13% environ du revenu économique de l'inde, qui était sous la domination de la Couronne, étaient obtenus par la vente du pur opium Be ngali en Chine, là aussi sous contrôle de la Couronne.
Certes , la maison royale ne voulait pas que ce "coin d'ombre" apparaisse au grand jour. C'est pourquoi ils y impliquèrent les services secrets britanniques, le "BRITISH MILITARY INTELLIGENCE DEPARTEMENT (MI6) et le "SECRET INTELLIGENCE SERVICE" (SIS).
L'existence du MI6 remonte à la reine Elisabeth 1re lorsque Sir Francis Walsingham devint trésorier du département "Dirty Tricks" du MI6. Après des siècles d'expériences, le MI6 compte parmi les meilleurs services secrets du monde.
La BEIMC dirigea, pendant un siècle la course au marché de l'opim jusqu'en 1829, date où le gouvernement chinois défendit de fumer l'opium.
De 1791 à 1894, le nombre de plantations d'opium concédées passa de 87 à 663 sous la surveillance de La Couronne britannique. Cela conduisit finalement aux guerres d'opium en Chine.
En 1729. la BEIMC fonda le "COMITE IDES 300" ("Commitee of 300") qui traita d'affaires commerciales et bancaires internationales (le "Comité des 300 appelé aussi l'élire de la City, est aujourd'hui une des organisations secrètes les plus puissantes et vide à un "Gouvernement mondial unique"). Ce Comité des 300 mit au point, plus tard, des tactiques pour passer outre la loi chinoise anti-drogues.
LORS INCHAPE fonda la "Société de navigation à vapeur P&O", il fut, en fait, le fondateur de la "Banque de Hong Kong et de Shanghai" qui fut une couverture pour le trafic d'opium. D'autres banques britanniques mêlées au trafic de drogues étaient : The British Bank of the Middle East, Midland Bank, National Westminster Bank, Barclays Bank, The Royal Bank of et Baring Brothers Bank. Toutes ces banques sont reliées par le "Comité des 300" aux banques Rothschild".
Lors de la construction du chemin de fer Harriman qui devait relier la Californie à l'Est des Etats-Unis, on embarqua pour ces travaux des milliers de travailleurs chinois à bon marché. Be aucoup parmi eux étaient des opiomanes, c'est ainsi que s'étendit le marché de la drogue aux Etats-Unis. HARRIMAN fonda son empire du chemin de fer grâce aux prêts de la "N.M. Rothschild & Sons Bank" à Londres. Il y a de bonnes raisons d'en conclure que ces opiomanes chinois ont été embauchés dans le but d'étendre précisément aux Etats-Unis le marché des stupéfiants. (50)
Remarque sur la situation actuelle :
Le journal "Neue Solidarität" écrivait dans l'édition du 8 septembre 1993 au chapitre "La reine et les srupéfiants" :
"Voilà un fait bien rare, une surprise assez extraordinaire et agréable que de trouver, pour une fois, dans la presse britannique des nouvelles assez proches de la vérité à propos de la famille royale. La semaine dernière, c'est une nouvelle de ce style qui rivalisait dans les manchettes avec les événements politiques mondiaux en première page du sacro-saint "Times" londonien du 27 août 1993. Le titre "La famille royale était "high" dans les Highlands". L'article qui se référait à un rapport soigneusement étudié du magazine écossais "Leopard" dévoilait que drogues et stupéfiants faisaient partie se la panoplie de la famille royale brilannique. Le "Leopard" prouva, documents originaux à l'appui, que la reine Victoria et son entourage (par ex. les familles Churchill et Rothschild) commandaient régulièrement d'assez gros paquets de cocaïne, d'héroïne et d'autres stupéfiants dans une pharmacie des Highlands. Le "Times" fit la même affirmation. Il formula avec délectation : " La reine Victoria , monarque au visage sévère, connue pour cette phrase "ça ne nous amuse pas du tout", paraît avoir commandé pour la maisonnée royale dans sa résidence Balmoral (en Ecosse) assez de cocaïne et d'héroïne pour maintenir dans les hauteurs toute une vallée écossaise des Highlands". Les pièces justificatives de la pharmacie montrent que les personnages royaux et leurs invités fournis régulièrement et en grosse quantité en solutions de cocaïne et d'héroïne".
(49) Des Griffin : "Die Absteiger", p. 60 - 69
(50) Herbert G. Dorsey III : "The Secret History of the New World Order", p. 10 - 11
Dr John Coleman :
Première guerre de l'opium
La première guerre de l'opium fut un conflit motivé par des raisons commerciales entre le Royaume-Uni et l'empire Qing en Chine de 1839 à 1842. Il est souvent considéré comme le début de l'hégémonie impériale de l'Occident sur la Chine et qui ne prendra vraiment fin qu'avec la proclamation de la République populaire de Chine en 1949.
LES CHINOIS NE DOIVENT PLUS JAMAIS OUBLIER CES FAITS ET METTRE AU PAS LES BRITANNIQUES…. ET LES ORDONNER AUX RÉELS BESOINS DES HUMAINS À VIVRE FRATERNELLEMENT, sans concurrence, sans vie de combat, sans les pauvres générés par leur ‘’Équité’’ et ‘’Mérite’’….
Le Commerce extérieur de la Chine avant les guerres de l’opium
Le commerce extérieur direct de la Chine avec les pays européens débute dès le XVIe siècle, avec pour premiers partenaires économiques les Portugais (1517) qui se sont installés à Canton (sud-est de la Chine), ils ont fondé en 1550 la cité de Macao. Ensuite viennent les Espagnols aux Philippines (1565), ils y fondent Manille en 1571. Ces pays sont notamment motivés par un objectif missionnaire.
Les Hollandais se positionnent en Indonésie, Batavia (actuelle Jakarta), d’abord installés à Penghu (1603) à côté de Taiwan, puis à Taiwan (1624). Les Russes viennent en voisins par voie terrestre.
En 1685, sous le règne de l’empereur Kangxi (1662-1723), un édit impérial autorise l’ouverture de tous les ports chinois aux bateaux étrangers ; le premier navire arrive à Canton en 1689. Cependant, ce commerce reste très limité car soumis à des règles très strictes : taxes pour les négociants étrangers, obligation de passer par un seul intermédiaire (le marchand de l’empereur) qui prélève des taxes au profit de l’État. En 1720, cet intermédiaire est remplacé par un organisme collégial : le Co-hong.
Sous le règne de l’empereur Qianlong (1736-1796), la politique commerciale s’inverse, elle est limitée dans son étendue et dans son intensité. En 1757, un édit impérial énonce que le Co-hong fixera maintenant les prix et les quantités des marchandises échangées, que les frontières maritimes vont être fermées (sauf Canton) et que les étrangers ne pourront pas s’installer où ils veulent à Canton (pas le droit d’apprendre le Chinois), le but étant d'empêcher les contacts directs.
La Chine est un empire plutôt fermé sur lui-même, autant commercialement que dans le domaine de l'échange des idées et des innovations. Ceci est du à un protectionnisme strict appliqué par la bureaucratie impériale, idéologiquement soutenu à la fois par les élites, soucieuses de ne pas ébranler les rites d'une société traditionnelle très conservatrice (voire immobiliste) et par la population qu'une méfiance extrême confinant à la xénophobie maintient à distance de l'étranger.
Rien n'y est plus important que la répétition du connu (qui puise sa force de conviction dans le respect des ancêtres et dans la croyance que la perfection a été atteinte) sans se permettre de déroger à la règle sous peine de châtiments. Dès lors, quel besoin, quel intérêt y aurait-il à acheter des produits étrangers, donc inconnus, donc non-inclus dans la tradition, leur utilité fût-elle avérée? Ceux-ci étant par essence "imparfaits" en comparaison, et non-conformes aux rites... (Pour aller plus loin, cf. "L'Empire Immobile ou le Choc des Mondes", Alain Peyrefitte)
Ainsi les tentatives précédentes des marins étrangers d'établir des comptoirs et de commercer avec l'Empire qui se considère au centre du monde, n'ont pas toujours été fructueuses: ségrégation, brimades, interdiction de communiquer avec la population, arbitraire impérial, taxation frauduleuse, confiscation de biens, etc...
L'empereur en plusieurs circonstances, ne considère pas que la Chine puisse avoir un intérêt à commercer avec le reste du monde. L'Europe "sinomaniaque" de la fin du XVIIIe siècle s'entiche de la civilisation chinoise et raffole de ses bibelots. Les Britanniques importent ainsi de plus en plus de marchandises chinoises (thé, soie, porcelaine, objets laqués…).
Cet état de fait crée un déséquilibre commercial. Mais si les négociants étrangers demandent de l’aide à leur gouvernement, c'est avant tout pour mettre fin aux brimades et surtout aux ségrégations quasi institutionnalisées dont ils sont les victimes. Deux missions diplomatiques verront le jour : la première en 1793 menée par Lord McCartney pour ouvrir d’autres ports. Elle est rejetée par Qianlong qui refuse (en 1796, Qianlong abandonne son trône), la seconde en 1816, dirigée par Lord Amherst, n’a pas plus de succès.
De plus, la Chine, étant autosuffisante, ne veut pas d'échange « marchandise contre marchandise », mais exige d'être payée en monnaie d'argent uniquement. Ceci n'est pas du goût des Britanniques qui, contrairement aux Espagnols, grâce à leurs colonies en Amérique du Sud, ont peu d’argent et beaucoup de marchandises en nature, venant principalement de leurs colonies aux Indes.
Pour répondre à la demande au Royaume-Uni, les Britanniques achètent d’énormes quantités de thé aux Chinois. Ces derniers, voyant que le commerce du thé est très lucratif, se mettent à convertir leurs plantations au détriment d'autres cultures, principalement celle du coton. Du même coup, la Chine ne peut plus vivre en autarcie et doit accepter les échanges de marchandises.
Offensive commerciale des puissances étrangères
Les Chinois connaissaient déjà l’opium, ils ne l’utilisaient pas comme drogue ou stimulant, mais plutôt comme analgésique. C'est à partir du XVIIe siècle, qu'ils ont commencé à l’utiliser comme drogue. Les premiers à leur en vendre furent les Portugais, l’opium venant d’Inde.
Les Britanniques décident de se lancer dans ce commerce des plus lucratifs. Les choses vont s’intensifier au fil du temps et en 1729 entraient environ 200 caisses d’opium par an en Chine. À la fin du XVIIIe siècle, plus de 4 000, et en 1838 plus de 40 000 (vendues par les Américains et les Britanniques).
Les Anglais exigent de se faire payer en lingots d'argent, récupérant ainsi le précieux métal qu'ils avaient cédé dans le commerce du thé. La balance commerciale entre la Chine et l'Empire britannique s'inverse rapidement et dramatiquement en faveur des Anglais. La corruption des fonctionnaires chinois qui contrôlent le trafic de drogue en Chine devient préoccupante et la drogue provoque des ravages dans la population. L'Empereur décide alors de réagir en s'en prenant aux intérêts britanniques.
En 1798, le gouvernement du Premier ministre britannique William Pitt envoie une ambassade à Pékin pour négocier un accord sur les échanges commerciaux sur la base de cette situation nouvelle. L’empereur, refusant de se faire « forcer la main » à cause de l’opium, préfère fermer son pays aux commerçants et aux missionnaires européens.
La réponse des Chinois
Les Chinois vont tenter de réagir avec l’interdiction de fumer l'opium.
Les premières mesures de prohibition
La cour décida de prohiber l’opium. En 1729, un premier édit, proclamé par l’empereur Yong Zheng (1723-1736), promulgue l'interdiction du trafic d’opium, le considérant dorénavant comme de la contrebande.
Cependant le trafic continue, et en 1796, un nouvel édit, proclamé par l’empereur Jia Qing (1796-1821), va confirmer l’interdiction du trafic de l’opium sous peine de mort. Cette fois, des sanctions contre les opiomanes seront également prises.
En 1800, l’empereur va proclamer un nouvel édit qui va confirmer la prohibition de l’opium et interdire sa culture sur le sol chinois ; les dépôts d’opium sont déplacés à Huangpu.
En 1809, une mesure administrative va être prise pour tenter d’entraver le trafic : les navires qui déchargent à Huangpu doivent fournir un certificat sur lequel est indiqué qu’il n’y a pas d’opium à bord. La corruption régnant parmi les fonctionnaires ne permet pas l'application stricte de ces mesures.
Rien ne semble diminuer ou stopper un commerce très lucratif : en 1813, une caisse d’opium indien se vend 2 400 roupies (prix de revient de 240 roupies). En 1821, un nouveau décret chinois annonce que le commerce n’est plus possible à Huangpu, le marché se déplace à Lingding où il va se développer de 1821 à 1839. La Compagnie britannique des Indes orientales (East India Company) décide alors de contourner l'interdiction et augmente ses ventes illégales d'opium en Chine ; de 100 tonnes vers 1800 à 2 600 tonnes en 1838. Le commerce des Britanniques en Chine devient enfin excédentaire, en 1835, il y a 2 millions de fumeurs d’opium en Chine.
Les Chinois feront la guerre au trafic d’opium
Les autorités chinoises vont répondre de façon plus efficace. L’empereur Daoguang (1821-1851) demande conseil à une dizaine d’experts avant de prendre une décision. Au sein de la cour, il y a des partisans et des adversaires de l’opium : certains veulent légaliser le trafic et d’autres voient le problème financier que cela va poser à la Chine. Un débat va s’engager pendant deux ans. Un de ces rapports va être présenté par le gouverneur général des provinces de Hubei et du Hunan, Lin Zexu (1775-1850).
Celui-ci est plutôt partisan de l’ouverture de la Chine au monde extérieur. C’est un farouche adversaire du trafic et son rapport défend l’interdiction de l’opium. Il propose une série de mesures pour limiter le trafic et la consommation de l’opium. Son texte est fondé sur sa pratique dans ses deux provinces : confisquer les stocks de drogue et accessoires de l’opiomanie.
L’empereur nomme en décembre 1838 Lin Zexu commissaire impérial de la province du Guangdong (Canton), il a pour charge de mettre un terme à l’usage de l’opium.
L’action de Lin Zexu
En mars 1839, Lin Zexu arrive à Canton et établit la liste de toutes les fumeries d’opium, des tenanciers des fumeries et des vendeurs.
Il confisque tous les stocks d’opium de la ville : il donne ordre aux propriétaires de ces stocks de venir remettre la drogue et en échange il leur donne du thé. Ils doivent aussi s’engager par écrit à renoncer à faire du commerce avec les Chinois (vu que tous les propriétaires sont étrangers).
Le surintendant du Commerce britannique devra alors coopérer avec Lin. En avril 1839, Lin fait parvenir à la Reine du Royaume-Uni, Victoria, un message pour lui dire que la consommation d’opium est interdite en Chine et lui demande d'en faire cesser le trafic.
En juin 1839, la drogue saisie est détruite, soit 200 000 caisses (1 188 tonnes). Lin édicte un règlement qui stipule que les bateaux étrangers qui entrent dans les eaux territoriales chinoises seront fouillés. L’opinion publique est favorable à cette interdiction.
Au nom de la défense du commerce, lord Melbourne, le Premier ministre de la reine Victoria, convainc le Parlement britannique d'envoyer un corps expéditionnaire à Canton, déclenchant du même coup la première guerre de l’opium.
La fièvre monte
Au Royaume-Uni, environ 300 sociétés commerciales britanniques demandent au gouvernement britannique d’intervenir auprès des autorités chinoises. Certains veulent une intervention officielle des Britanniques pour qu’on leur paie leur marchandise détruite. Une campagne de presse est organisée pour déplorer tous ces incidents entre Britanniques et Chinois.
En Chine, les choses se tendent encore plus et il y a même des affrontements armés entre navires britanniques et jonques chinoises : le premier a lieu en septembre 1839 et le deuxième en novembre 1839. Lin Zexu interdit le port de Canton aux navires britanniques en décembre 1839, l’empereur décide de « fermer pour toujours » Canton aux Britanniques en janvier 1840.
Cette nouvelle parvient au Royaume-Uni. Un débat a lieu en avril 1840 à la Chambre des Communes entre les partisans d'opérations militaires pour la réparation des torts envers leurs commerçants et ceux qui veulent que le Royaume-Uni renonce à vendre de l’opium et du même coup renonce à une guerre. Les premiers auront gain de cause.
La guerre
En avril 1840, une armada britannique est mise sur pied : 16 vaisseaux de ligne, 4 canonnières, 28 navires de transport, 540 canons et 4 000 hommes. Sous le commandement de l’amiral Elliot, ils arrivent au large de Canton en juin 1840.
Un croiseur britannique bombarde Canton et occupe l'archipel voisin des Chousan (d'où est tiré le terme de « diplomatie de la canonnière »). Les britanniques attaquent Canton mais sans parvenir à la prendre car Lin a fait planter des pieux retenus par des chaînes dans le port, les bateaux ne peuvent donc pas accoster. Il y a aussi une milice qui défend la ville.
Les Britanniques conquirent Hong Kong (alors un avant-poste mineur) et en firent une tête de pont. Les combats commencèrent réellement en juillet, quand les HMS Volage et HMS Hyacinth défirent 29 navires chinois. Les Britanniques capturèrent le fort qui gardait l'embouchure de la rivière des Perles — la voie maritime entre Hong Kong et Guangzhou.
La cour chinoise prend peur, Lin Zexu tombe en disgrâce (condamné à l’exil) et ils nomment à sa place un aristocrate, Qishan
l'île de Hong Kong devient anglaise après la signature du traité de Nankin
Des négociations vont avoir lieu à Canton : Qishan fait démolir les fortifications de Lin, dissoudre la milice en novembre 1840 et réduire le nombre de soldats.
Les trois revendications britanniques :
- La reprise du commerce avec le Royaume-Uni
- Le remboursement des stocks d’opium détruits
- La passation de Hong Kong (anciennement Îles Victoria) dans leur giron.
Qishan refuse. Les Britanniques tentent de le faire plier en attaquant et s’emparant de quelques ouvrages de fortification. Qishan prend peur et accepte les revendications.
La cour chinoise pense que l'acceptation de Qishan ne concerne que la reprise du commerce. En apprenant que cela va beaucoup plus loin, l’empereur décide de destituer Qishan (exécuté en février 1841) et déclare la guerre aux Britanniques le 29 janvier 1841. L’empereur remplace Qishan par Yishan.
En 1841 les forces britanniques occupaient la région autour de Guangzhou, puis ils prirent la ville voisine de Ningpo (de nos jours Ningbo) et le poste militaire de Chinhai.
Les opérations militaires se déroulent dans la province de Canton, les Britanniques se rendent vite maîtres des endroits stratégiques. Yishan va mettre plusieurs semaines à arriver à Canton, il va lancer un assaut contre les Britanniques mais celui-ci est repoussé, les Chinois se replient à l’intérieur de Canton. Yishan va demander l’armistice et une convocation d’armistice (convention sur le rachat de Canton) sera signée le 27 mai 1841. Cette convocation engage les Chinois à racheter Canton 6 millions de dollars aux Britanniques (dont un million le jour même). Mais elle repose sur un double malentendu utilisé par les diplomates britanniques : les Chinois considèrent cette action comme un prêt commercial et les Britanniques n’ont pas renoncé à l’indemnisation des stocks d’opium et aussi à Hong Kong.
Capitulation chinoise
Les Britanniques veulent encore faire peur aux Chinois afin d’obtenir davantage avec une nouvelle négociation. En août 1842, une escadre britannique remonta le Yangzi Jiang jusqu'à Nankin, obligeant le gouvernement de l'empereur Tao-kouang à capituler et à signer le traité de Nankin le 29 août 1842. Ce Traité, donne aux Britanniques, le libre commerce de l'opium, la fin de l'obligation de négocier uniquement avec les Co Hong et surtout la concession de l'île de Hong Kong qui sera reprise par la suite.
Les forces britanniques étaient dirigées par Le général Anthony Blaxland Stransham.
La facilité avec laquelle les forces britanniques avaient obtenu la victoire affecta gravement le prestige de la dynastie Quing. Cela contribua certainement à la rébellion Taiping (1850-1862).
Les traités
Le 29 août 1842, les représentants de la cour vont signer à bord d’une canonnière britannique le fameux Traité de Nankin. Ce traité sera complété plus tard par deux autres traités conclus le 28 juillet 1843 et le 8 octobre 1843 (traité de Humen). L’essentiel va au traité de Nankin.
Mais ces 3 traités reconnaissent aux Britanniques des droits :
- 1re clause : la cession de Hong Kong qui deviendra une place militaire et économique
- 2e clause : 5 ports sont ouverts : Xiamen, Canton, Fuzhou, Ningbo et Shanghai. Les Britanniques obtiennent aussi le droit de s’installer dans ces ports et d’y vivre avec leur famille (pour les marchands). Le traité de Humen autorisait également l'édification d'édifices dans ces ports.
- 3e clause : indemnités de guerre (frais + opium) : 21 millions yuan, soit 1/3 des recettes du gouvernement impérial. Échéancier de 4 ans.
- 4e clause : douanes : les commerçants britanniques sont assujettis au paiement de droit sur les importations et exportations, le montant est désormais fixé par les Chinois et les Britanniques.
- 5e clause : droit de la juridiction consulaire : en cas de litige entre un Chinois et un Britannique, juridiction britannique, base des lois britanniques.
- 6e clause : la nation la plus favorisée : si la Chine signe un traité avec une autre puissance, le privilège accordé à la nation en question sera de fait accordé au Royaume-Uni.
D’autres nations (États-Unis d'Amérique, France) demandent les mêmes privilèges que ceux accordés au Royaume-Uni.
- États-Unis : en 1842, revendiquent les mêmes droits commerciaux et légaux. En 1844, ils les obtiennent par le traité de Wangxia (village près de Macao)
- France : Avant la guerre de l’opium, les français étaient mal placés commercialement puis ils obtiennent les mêmes droits en octobre 1844 par le traité de Whanpoa. Ils obtiennent de plus le droit de construire des églises et des cimetières. Quelques jours après, ils obtiennent le droit d’évangéliser.
Les conséquences économiques et sociales de la 1re guerre de l’opium
Après les traités de Nankin, l’économie chinoise s’ouvre aux puissances étrangères et vice-versa. La Chine exporte plus de 100 millions de livres sterling de thé, deux fois plus qu'auparavant. De 12 000, les chinois exportent désormais 20 000 balles de soies en 1840, par le biais des Britanniques. Les commerces étrangers s’emploient à renforcer leur position et s’installent surtout à Shanghai (concession britannique en 1841, concession américaine en 1845, puis concession internationale). Shanghai devient une concession française en 1849 (enclave juridique avec ressemblance avec les quartiers français). Le commerce de l’opium continue de se développer. Il n’est toujours pas légal mais toléré : 40 000 caisses en 1838, 50 000 en 1850, 80 000 en 1863 (double en 25 ans).
Conséquences financières]
Avant 1821, la caisse est vendue entre 1 000 et 2 000 dollars mexicains maximum. Après 1838, entre 700 et 1 000 dollars mexicains. La monnaie était le liang (traduit par taël en français). Le liang correspond à un poids d’argent variable. (37 g environ) et 1 liang = 1 000 sapèque (en cuivre). Les Chinois paient en liang. La monnaie d’argent se raréfie en Chine, la valeur augmente au détriment de la monnaie en cuivre.
L'inflation monte :
- Avant 1820, 1 liang = 1 000 sapèques
- En 1845, 1 liang = 2 200 sapèques.
Cette hausse se reflète sur les Chinois qui n’ont que des sapèques, les impôts doublent.
Conséquences sociales
A la campagne, les paysans s’endettent de plus en plus auprès des propriétaires fonciers. Les paysans mendient, se font bandits, rejoignent des sociétés secrètes.
En ville : le sort des artisans n’est guère plus enviable. Les produits étrangers (cotonnades et fils) peuvent se déverser sur le marché chinois. Chômage pour certains, d’autres meurent de faim. Entre 1841 et 1849, on dénombre 100 soulèvements populaires environ. La Révolte des Taiping par exemple. Cette colère populaire se déverse contre les étrangers (mouvements d’hostilité) comme à Canton ou à Fuzhou.
La population se retourne aussi contre la cour. La révolte sera matée. En 1851, l'empereur Xian Feng accède au trône, les négociateurs des traités tombent en disgrâce et les Chinois veulent reprendre ce qu’ils ont consenti à donner sous la disgrâce.
Le traité de Nankin, faisant suite à la première guerre de l'opium, ne laissait que cinq ports à disposition des Occidentaux pour le commerce.
Malgré cet accord, les puissances européennes, dont la balance commerciale était largement déficitaire, désiraient étendre leur commerce vers le Nord et vers l’intérieur de la Chine.
De plus, le Commerce de l'opium était toujours illégal en Chine.
Cependant, le vice-roi de la ville de Canton le pratiquait tout en faisant condamner à mort les étrangers accusés de ce commerce. C'est ainsi que la France et les États-Unis demandèrent, en 1854, des révisions dans le traité de Huangpu et le traité Wangxia. Le Royaume-Uni fit la même demande, citant les articles sur le « traitement égalitaire » dans les statuts des nations les plus favorisées.
En 1854, les ministres occidentaux et étasunien contactèrent de nouveau les autorités chinoises et demandèrent des révisions des traités :
- Pouvoir pénétrer sans hostilité dans Canton.
- Pouvoir étendre le commerce à la Chine du Nord et le long du fleuve Yangzi.
- Le commerce de l’opium était toujours illicite, ils voulaient le légaliser.
- Les Occidentaux voulaient traiter avec la cour directement à Beijing.
La cour impériale de la dynastie Qing rejeta alors les demandes de révision du Royaume-Uni, de la France et des États-Unis d'Amérique. Dès lors, les puissances occidentales cherchèrent d'autres moyens pour arriver à rééquilibrer une balance commerciale très déficitaire.
La guerre
Les puissances occidentales estimaient que seule la guerre pouvait amener l'Empire chinois à changer de position. Dès lors, les puissances occidentales attendirent l'événement qui pouvait amener le conflit.
Cet événement eut lieu le 8 octobre 1856, lorsque des officiers chinois abordèrent l’Arrow, un navire chinois enregistré à Hong Kong sous pavillon britannique, suspecté de piraterie et de trafic d'opium. Ils capturèrent les douze hommes d’équipage et les emprisonnèrent. Cet épisode est souvent appelé « l'incident de l'Arrow ».
Les Britanniques demandèrent officiellement la relaxe de ces marins en faisant valoir la promesse par l'empereur de la protection des navires britanniques. Ces arguments furent ignorés par les autorités chinoises. Les Britanniques évoquèrent ensuite l’insulte faite au drapeau britannique par les soldats de l'Empire Qing.
La première partie de la guerre
Bien qu'affaiblis par une mutinerie difficile à réprimer aux Indes, la révolte des Cipayes, les Britanniques répondirent à l’incident de l’Arrow en 1857 en attaquant Canton depuis la rivière des Perles. Ye Mingchen, alors gouverneur des provinces du Guangdong et du Guangxi, ordonna aux soldats chinois en poste dans les forts de ne pas résister. Après avoir pris sans difficulté le fort voisin de Canton, l’armée britannique attaqua la ville elle-même. Les navires de guerre américains, y compris l'USS Levant, bombardèrent Canton. Les habitants ainsi que les soldats résistèrent à l'attaque et forcèrent les assaillants à battre en retraite vers Humen.
Le parlement britannique, décida d'obtenir coûte que coûte réparation de la part de la Chine pour l’incident de l'Arrow, demanda à la France, aux États-Unis et à la Russie de s’allier à elle. La France rejoignit les Britanniques contre la Chine après l’exécution du missionnaire Auguste Chapdelaine (incident dit du père Chapdelaine), par les autorités locales chinoises dans la province du Guangxi. Les Américains et les Russes firent des offres d’aide aux Britanniques et aux Français, mais, finalement, ne les aidèrent pas militairement.
Les Britanniques et les Français joignirent leur force sous le commandement de l’amiral Sir Michael Seymour. L’armée britannique dirigée par Lord Elgin et l’armée française dirigée par le général Gros, attaquèrent et occupèrent Canton à la fin de l’année 1857. Ye Mingchen fut capturé et Baigui, le gouverneur de Guangdong, se rendit. Un comité mixte de l’Alliance fut formé. Baigui fut maintenu à son poste original pour maintenir l’ordre au nom de l’Alliance. L’Alliance maintint Canton sous son contrôle pendant près de quatre ans. Ye Mingchen fut exilé à Calcutta, en Inde, où il se laissa mourir de faim.
La coalition se dirigea ensuite vers le nord pour prendre les forts de Dagu, à côté de Tianjin, en mai 1858.
L'enseigne de vaisseau Henri Rieunier (1833-1918), de l'artillerie de marine, assistera à toutes les opérations de la première partie de la guerre de Chine, ses écrits exceptionnels sont conservés et relatent les évènements, comme suit: "L'aviso "Marceau" participe à la prise d'assaut de Canton, grand port de la Chine méridionale, le 28 décembre 1857 par les flottes combinées de l'Angleterre et de la France, à la suite d'attaques contre des navires marchands anglais.
Le 20 février à Canton, Henri Rieunier embarque sur la canonnière la "Mitraille" dont il dirige les batteries d'artillerie. Le 16 mars 1858, l'amiral de Genouilly, avec l'escadre quitte Canton pour la Chine du nord. Le 20 mai 1858, agissant de concert avec les Anglais, il s'empare des forts de Ta-Kou à l'embouchure du Peï-ho dans le Petchili avant de remonter le Peï-ho jusqu'à Tien-Tsin en direction de Pékin. La "Mitraille" dont l'équipage fut décimé - 2 officiers tués, un blessé - participe à leur attaque et à leur prise. Henri Rieunier fut chargé de miner et de faire sauter le fort sud de l'embouchure de Peï-ho, en juin 1858. La route de Pékin ouverte, le gouvernement chinois signe à Tien-Tsin les 27 et 28 juin 1858 avec l'Angleterre et la France, les traités qui mirent fin à la première expédition de chine de la 2ème guerre de l'opium. L'affaire de Chine étant ou paraissant réglée, l'amiral Rigault de Genouilly porte ses forces sur la Cochinchine...etc".
Le Traité de Tianjin
En juin 1858, le Traité de Tianjin conclut la première partie de la guerre à laquelle la France, la Russie et les États-Unis étaient partis prenants. Ce traité ouvrit onze ports supplémentaires au commerce occidental. Mais, dans un premier temps, les Chinois refusèrent de le ratifier.
Les points principaux du traité étaient :
- Le Royaume-Uni, la France, la Russie et les États-Unis auront le droit d’établir des missions diplomatiques à Pékin, jusque là, cité interdite.
- Dix ports chinois supplémentaires seront ouverts au commerce étranger, y compris Niuzhuang, Danshui, Hankou et Nankin.
- Le droit pour tous les navires étrangers, y compris les navires commerciaux, de naviguer librement sur le Yangzi Jiang
- Le droit pour les étrangers de voyager dans les régions intérieures de la Chine dont ils étaient jusqu’à présent bannis.
- La Chine doit payer une indemnité au Royaume-Uni et à la France de deux millions de taels d’argent chacune.
- La Chine doit payer une indemnité aux marchands britanniques de deux millions de taels d’argent pour destruction de leurs propriétés.
Les négociations se poursuivirent et, en novembre 1858, le gouvernement central accepta de légaliser le commerce de l’opium : en 1886 le commerce de l’opium porta sur 180.000 caisses (environ 10.000 tonnes). Dès 1878 : 100 millions d’opiomanes chinois. Problème jusqu’en 1906.
Les Chinois acceptèrent que les droits de douane soient extrêmement faibles et que les droits maritimes passent sous contrôle étranger.
La ratification eut lieu plus d'un an après. Le gouvernement chinois laissa traîner les choses et les Britanniques et Français eurent recours à la force pour aller plus vite : 18.000 Britanniques et 7.000 Français s’embarquèrent sur les eaux chinoises.
Le Traité d'Aigun avec la Russie
Le 28 mai 1858, le traité d'Aigun est signé avec la Russie pour réviser les frontières entre la Chine et la Russie telles qu’elles avaient été définies par le traité de Nertchinsk en 1689.
Les Russes s’étendent vers la Chine, car ils ne peuvent s’étendre vers le Proche Orient (guerre de Crimée perdue, 1856). Il y a très longtemps que Russes et Chinois s’étaient entendus sur des frontières communes. Par la suite, les Russes avaient essayé de repousser les frontières (au-delà du fleuve Hei Long) et avaient installé deux forts. Les Russes profitent de la deuxième guerre de l'Opium pour consolider leur avancée. Ils collaborent en sous main avec Français et Britanniques et se posent en médiateur. La Russie gagne la rive gauche de la rivière Amour ainsi que le contrôle d’un territoire hors gel le long de la côte Pacifique, où elle fonde la ville de Vladivostok (le souverain de l’est) (anciennement Haishenwei) en 1860.
Les Russes ont les mêmes privilèges que les autres pays et la Chine reconnaît formellement leurs annexions de plus d'un million de kilomètres carrés de territoires.
La seconde partie de la guerre
En 1859, après le refus de la Chine d’autoriser l’établissement d’ambassades à Pékin comme stipulé dans le traité de Tianjin, une force navale sous le commandement de l’amiral Sir James Hope encercla les forts gardant l’embouchure de la rivière Hai He, mais subit des dommages et fit retraite sous la couverture d’un escadron naval commandé par Josiah Tattnall.
En 1860, une force franco-britannique partie de Hong Kong accosta à Pei Tang, le 3 août, et attaqua avec succès les forts de Dagu le 21 août. Le 26 septembre, la force arriva à Pékin et occupa la ville le 6 octobre. Nommant son frère, le prince Gong comme négociateur, l’empereur chinois Xianfeng se réfugia dans son palais d’été de Chengde. Les troupes franco-britanniques incendièrent les deux palais d’été, le nouveau et l’ancien, à Pékin, après plusieurs jours de pillage. Le vieux palais d'été fut totalement détruit. Cependant, Pékin elle-même ne fut pas prise, les troupes restant cantonnées en dehors de la ville.
La Campagne de Chine de 1860 vécue et racontée par un soldat du 102ème régiment d’infanterie de ligne.
Le débarquement a Pei Tang
la Bataille de Palikao
la devastation du palais d'été
Lettre de Victor Hugo, datée du 25 novembre 1861, critiquant la mise à sac du palais Yuanmingyuan le 17 octobre 1860 :
peopledaily.com
La Convention de Pékin
Après la fuite de Pékin de l’empereur Xianfeng et de sa suite, en juin 1858, le Traité de Tianjin est finalement ratifié par le frère de l’empereur, le prince Gong, lors de la Convention de Pékin le 18 octobre 1860, mettant un terme à la seconde guerre de l’opium.
Le commerce de l’opium est légalisé et les chrétiens voient leurs droits civils pleinement reconnus, incluant le droit de propriété privée et celui d’évangéliser.
La convention de Pékin inclut :
- La reconnaissance par la Chine de la validité du traité de Tianjin
- L’ouverture de Tianjin en tant que port commercial, destiné au commerce avec Beijing
- La cession du district de Kowloon au Royaume-Uni
- La liberté de culte en Chine. Les missionnaires catholiques français ont le droit d’acheter des terres et de construire des églises.
- L’autorisation pour les navires britanniques d’amener de la main-d’œuvre chinoise à l'étranger pour remplacer les esclaves récemment affranchis. Ces coolies partiront pour les mines ou les plantations de Malaisie, d’Australie, d’Amérique latine, des États-Unis.
- Le paiement aux Britanniques et aux Français d’une indemnité augmentée à huit millions de taels d’argent chacun.
Hong Kong est toujours anglaise
.... et puis une fois que l'on est dans la rue, on ressent toute l'influence anglaise avec la conduite à gauche, les tramways à l'impériale... Et chose extraordinaire on peut parler anglais, et ça, ça fait plaisir !
Le sixième gouverneur de Hong Kong , Sir Richard MacDonnell avait une résidence d'été construite sur la crête vers 1868.
En 1842 sous la Traité de Nankin, le territoire est alors devenu une colonie de la Couronne.
Le 19 décembre 1984, la déclaration commune sino-britannique sur la question de Hong Kong (« la déclaration officielle mais non OFFICUIEUSE ») fut signée par les gouvernements de la RPC et du Royaume-Uni. Aux termes de cet accord, Hong Kong cesserait, EN APPARENCE, d'être une colonie britannique le 1er juillet 1997 .... changements purement symboliques pour éviter que l'Angleterre devienne une cible mondiale de mépris telle La Puissance Mondiale à détruire. Car on continue à employer le système de droit anglo-saxon (English Common Law). L’indépendance frontalière et douanière : La frontière avec le continent est maintenue et patrouillée comme avant. Le libre échange avec le reste du monde et avec le continent sont préservés. Des vols entre Hong Kong et la Chine continentale sont considérés vols internationaux (ou vols entre territoires)... l'anglais est une langue officielle de par la Basic Law et son enseignement reste courant dans toutes les écoles... Hong Kong, à la différence du continent, continue de conduire du côté gauche. Normes d’installation : Les normes britanniques des prises électriques (BS1363), de la transmission de TV (PAL-I) et beaucoup d'autres normes techniques du Royaume-Uni sont encore utilisées à Hong Kong. L'ancienne routine britannique des défilés militaires, et la terminologie de commandement en anglais sont préservées dans tous les services disciplinaires et tous les organismes.
Toutes les statues britanniques, par exemple ceux de la Reine Victoria, roi George, etc., sont restées inchangés dans leurs emplacements.
Le départ de Tung est largement associé au changement de dirigeant en Chine : Hu Jintao (胡锦涛) a pris le pouvoir en septembre 2004 au sein de la Commission militaire centrale (RPC) de la République populaire de Chine, l'organe suprême de la force armée chinoise. Le poste de Tung a été rempli par Donald Tsang, après une élection exceptionnelle pour le solde du mandat de deux ans, où il n’y avait qu'un seul candidat qualifié. En tant que secrétaire général, Tsang fut le deuxième plus haut fonctionnaire de l’administration. Ce fonctionnaire de carrière populaire est connu pour ses nœuds papillon et a été nommé chevalier par la reine du Royaume-Uni pour son service à l'administration coloniale.
Que reste-t-il pour Hongkong? La «bave du diable». L'opium. Des montagnes d'opium. Sous la garde du général Saltoon - c'est à lui que Cambronne a dit merde à Waterloo - Hongkong devient le plus beau dépôt de narcotiques de tous les temps. Et, de fait, le coffre-fort de l'Asie.
Un petit sous-marin peut transporter 12 000 lbs de drogues
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GUERRES OÙ QUE LES BRUTES GAGNENT
25 millions de soldats sans le monde.
55 000 troupes autour du Monde ayant comme but de contrôler les populations civiles sous le couvert de ‘’protection’’
Paroles de Boris Vian. Musique : Harold Berg 1954
Monsieur le Président, je vous fais une lettre que vous lirez peut-être. Si vous avez le temps, je viens de recevoir mes papiers militaires pour partir à la guerre, avant mercredi soir. Monsieur le Président, je ne veux pas la faire, je ne suis pas sur terre pour tuer des pauvres gens. C’est pas pour vous fâcher, il faut que je vous dise ma décision est prise : je m’en vais déserter. Depuis que je suis né, j’ai vu mourir mon père, j’ai vu partir mes frères et pleurer mes enfants. Ma mère a tant souffert, elle est dedans sa tombe, et se moque des bombes, et se moque des vers. Quand j’étais prisonnier, on m’a volé ma femme, on m’a volé mon âme et tout mon cher passé. Demain, de bon matin, je fermerai ma porte au nez des années mortes, j’irai sur les chemins. Je mendierai ma vie, sur les routes de France, de Bretagne, en Provence. Et je dirai aux gens : refusez d’obéir, refusez de la faire, n’allez pas à la guerre, refusez de partir. S’il faut donner son sang, allez donner le vôtre, vous êtes bon apôtre Monsieur le Président. Si vous me poursuivez, prévenez vos gendarmes que je n’aurai pas d’armes et qu’ils pourront tirer.
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Pour dominer le Monde, se sont unis au Royaume-Uni : Esso, ALCAN, Massy-Ferguson, Otis Elevator Vauxhall, GM, International Harvester, Chrysler…
L’ANGLETERRE PROPRIÉTAIRE DES PLUS GRANDES PUISSANCES PÉTROLIÈRES.
L'union en 1999 de deux descendants directs de
''Les sociétés pétrolières sont des fabricants d’armes, elles sont reliées aux trafiquants d’armes, ce sont souvent des sociétés canadiennes inscrites dans des paradis fiscaux….'', dit le général Roméo Dallaire
Voici ce qu’a déjà dit M. Robert Mc Namara, ancien président de
« Quand les hommes vivront d'amour »
CARNAGES
PLUS DE 82 MILLE CIVILS SONT MORTS DEPUIS QUE LES EU ONT ENVAHI L’IRAK....
Les Britanniques manipulent
LE MILITARISME DÉVORE et dilapide LES FONDS PUBLICS et réduit les Services Sociaux. À chaque année le Canada exporte des armes de guerre pour une valeur de 4 milliards$, ce qui explique l’intérêt du Canada pour s’investir dans la guerre. Au Canada, ça nous coûte 20 000 $ par minutes juste pour la fabrication d’armes destinées à la guerre
Les sociétés pétrolières sont des fabricants d’armes, elles sont reliées aux trafiquants d’armes, ce sont souvent des sociétés canadiennes inscrites dans des paradis fiscaux…. PAYER UN HUMAIN POUR SE PROMENER AVEC UNE ARME CONTRE NOUS. Les soldats doivent pas nous surveiller mais VEILLER SUR NOUS!
Les 17 % des soldats de retour de Kandahar qui souffrent d'un problème de santé mentale: eux, sont des êtres encore normaux qui réagissent aux horreurs qu'on leur a faire faire. Inquiétons-nous plutôt des 83 % qui reviennent de la guerre sans en avoir été ébranlés: incontestablement ce sont des sadiques de la pire espèce!
« Les Etats-Unis crie au génocide, mais ils collaborent avec les services soudanais dans la guerre au terrorisme….
Ne vous ENGAGEZ pas … à ces SYSTÈMES DE
« Faut-il être arriéré et dérangé pour établir une hiérarchie entre les jeunes du même âge et le mensonge que certains sont meilleurs et plus doués que d’autres »!
«L’ENFANT N’A PAS DE PROBLÈMES SAUF À PARTIR DU MOMENT QU’IL ENTRE À L’ÉCOLE DU MÉRITE»...
*** L’École Obligatoire élitiste s’attaque à des personnes qui ont moins de 18 ans : donc à des mineurs: ...LES PÉDO-ÉLITES.... L’ACADÉMIQUE élitiste COMME PRÉTEXTE qui par une Éducation capitaliste s’attaque à des personnes mineures de 5 à 16 ans... L’État est-il en délit? !
Une Éducation-de-la-compétition qui transformera la bonté naturelle du jeune en un prédateur égoïste, agressif et compétitif.
*** N’oubliez pas que l’enfant de 5 ans a appris à parler sans l’École et sans ses examens stressant et hiérarchisant, sans la compétition débile des résultats scolaires…. Il a appris à parler simplement en observant les grands et dans le plaisir!
MENSONGE ! NOS ENFANTS QU’ON DIT MÉSADAPTÉS : NE LE SONT PAS! Notre Société est mésadaptée et autiste à l’enfance, à la jeunesse, aux valeurs humaines et à la vie. On a pas à ‘’intégrer’’ un jeune au capitalisme sauvage! Ne faites plus de vos enfants des ‘’adaptés’’. S’adapter à ce qui est déshumanisant rend fou, contradictoire, défaitiste, fait de nous des soldats qui protègent ce qui nous ignorent
L’Élitisme est le crime, la cause, le mal… Débarrassons-nous du POISON DE L’ESPRIT MILITAIRE qui est dans
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Au-dessus de tout travail et tout profits il y a le Gouvernement et
Vers des régions propriétaires de citoyens souverains, autonomes et sécures financièrement.
*** UN BON EXEMPLE DE PEUPLES QUI SE PRENNENT EN MAINS pacifiquement : LES ARGENTINS
C’est un mouvement Argentin de l’Entreprise Occupée. Les Argentins ont tant souffert, et que de fois la télé nous montrait nos soldats qui les empêchaient de manifester et de dire qu’ils étaient tannés d’être volés et d’êtres pauvres. Maintenant ce peuple a appris, il parle de démocratie directe et participative, il dénonce les chefs et l’État vendu aux lobbys. Ce peuple, refuse de voter, il se fait confiance, ils s’arrangent facilement entre eux, sans chef, sans militaires, sans polices…. Les Argentins ont commencé à nationaliser
Ce n’est pas voler les riches : c’est l’EXPROPRIATION... L’Etat de l’Argentine, où ses citoyens exproprient Usine par Usine pour se les réapproprier. Faisons de même. Ils ont repris 200 Entreprises et des emplois récupérés... Nous pouvons réclamer le droit de prendre les usines en charge collectivement.
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L'École élitiste nous a appris l'égoïsme, à nous préparer à nous exploiter les uns les autres, ...
ON SE SACRIFIE… POUR NUIRE AUX AUTRES
Dieu est accessible à tous, sans médiation, c'est-à-dire sans l'intermédiaire du clergé ou des sacrements. Les Écritures ne sont « qu'une affirmation de la source, et non la source elle-même : elles ne peuvent donc être la base principale de toute Vérité et connaissance, ni la règle première de foi et de comportement.
L’« indépendance du Tibet », prônée par la clique du Dalai Lama, vise en réalité au rétablissement au Tibet de l’ancien régime combinant le pouvoir politique et le pouvoir religieux.
L'Angleterre par les Dalai-lama a esclavagisé la Chine.....
Il y a bel et bien un enjeu géopolitique Britannique qui s'est infiltré dans cette Religions et dans toutes les autres d'ailleurs: afin d'empêcher que les VALEURS FRATERNELLES ne se retrouvent aux FOndements des États...
Les rois bouddhistes, les princes et les moines, nous ont frappés à l'aide de la doctrine du karma et du concept de la dette, "l'égo" du peuple : "comme la foudre ou l'éclat du diamant (vajra) frappent la pierre (l'égo)".
BOUDDHA disait que l'Homme n'est que souffrances. Moi je dis qu'il se trompait, Bouddha ne faisait que traduire son époque et ce qu'il constatait, mais ce que l'on constate ne sont que ''effets'' et ''conséquences'' mais jamais la réalité intérieure des humains..... On peut vous emprisonner, vous torturer, vous violer, vous obliger à faire des choses horribles malgré vous, vous..... mais en aucun cas si on ment à des humains confiants, crédules et bien intentionnés, en aucun cas dis-je, ces humains ne sont complices ni mauvais: on a simplement abusé de personnes bonnes et faciles à induire en erreur. Pour moi, l'Humain est fondamentalement bon, et vous le comprendrez en pensant qu'un chiot deviendra violent ou sera doux dépendamment de l'éducation que lui apportera son maître, et il en est de même pour les humains et pout tout ce qui est vivant.
Les plus pauvres seront doctrinalement (selon des catégories juridiques codifiées et écrites) "des hors castes", entendons, selon la terminologie bouddhique japonaise d'authentiques "non-humains" ou "hinin", "impurs" ou "eta", "hommes à quatre pattes" ou "yotsunin".
Les burakumin au Japon (gens des hameaux spéciaux ou ghettos) sont toujours persécutés par la société japonaise, tout comme le furent les "bêtes parlantes" ou "nangzen" en tibétain, jusqu'en 1949. Ces catégories attestent de la violence des modélisations juridiques et religieuses pré-établies anciennes (consulter, si vous voulez, notre bibliographie judiciaire et ethno-antropologique sommaire : fin de l'Intro III-IV et fin du Ch. II, enseignements tantriques et sources judiciaires de l'histoire du crime religieux, dans "ni bonze ni laïc" sur linked222).
Les Bouddhistes se prosternent et prient dans les temples, etc. Il y a cette domination psychologique des moines sur leurs adeptes, et cette soumission affichée des pratiquants.
Bouddha est bien un dieu qui ne dit pas son nom et qui pousse les autres dehors pour faire sa place. Comme le yoga et tout ce qui vient d'Orient, les forces occultes sont à l'œuvre dans les exercices spirituels proposés. Ce sont des églises sataniques à ciel ouvert.
Mort du Bouddha (l'éveillé) par ingestion de champignons mortels.
Puis, le bouddhisme prit alors :
- le chemin du Sud-Est pour finir par le culte des statues géantes des pays asiatiques et du Sri Lanka,
- la voie du Nord où il s'amalgama avec le confucianisme et le taoisme chinois, puis avec les croyances de la Corée et enfin du Japon (shintoïsme, bouddhisme du bodisatva Amina et Nichiren(Nam Myo Ho renge Kyo).
- Enfin l'Himalaya où il fusiona avec la religion des Bo et leurs "Livre des Morts".
C'est donc de cet amalgame qu'est issu monsieur Tenzin Gyatso qui accepte de passer pour la 14° réincarnation des 13 dirigeants précédents.
La Chine est un dragon malade. Sa maladie s’appelle « totalitarisme ». Le totalitarisme est ce parasite qui rendre dans le cerveau de la bête pour en prendre procession, et mettre l’animal à son service. Pour cela, le dragon se retrouve réduit à agresser ses congénères dragons et voisins, et mange ses propres enfants.
Le Dalai Lama est en fait le représentant général du système de servage qui réunissait en un au Tibet le pouvoir politique et le pouvoir religieux et il est un exilé politique qui se consacre depuis de longues années à la division de la patrie et à la sape de l’unité nationale. L’ancien régime tibétain réunissant en un pouvoir politique et pouvoir religieux était en fait un système despotique dominé conjointement par le clergé et l’aristocratie. Ce système alliant religion et politique a continué jusqu’aux années 50 du 20ème siècle, ce qui a gravement et sérieusement empêché le développement social et économique du Tibet qui était alors extrêmement arriéré sur le plan économique et social, alors que son peuple vivait dans la misère, dans la pauvreté et dans un extrême dénuement. Le Dalai Lama qui déclencha en 1959 une rébellion. qui fut écrasée. Affranchis et émancipés, les millions de serfs et d’esclaves sont devenus ainsi les maîtres de leur destinée et du pays.
Il a rencontré le chef spirituel et politique des Tibétains en plusieurs occasions, notamment lors de sa dernière visite en Angleterre, en 2004 et il fera probablement la même chose au mois de mai 2008.
Tony Blair a rencontré le Dalaï Lama en 1999 et le Président Bush a tenu une réunion publique avec lui, l’année dernière.
Le bouddhisme n’a pas toujours été lumineux et harmonieux car ses débuts ont connu des sacrifices humains...
Il y a 50 ans, c'était l'esclavage. Au Tibet, sous la gouverne du Dalaï-lama, 80 % des gens étaient illettrés.
Un autre mythe consiste en ce que Dalai Lama est le leader spirituel des bouddhistes du monde. Le Dalai Lama ne représente pas le bouddhisme chinois, ni celui de sud-est asiatique et le bouddhisme zen au Japon.
En réalité les bouddhistes du Tibet représentent 2 % des bouddhistes du monde.
Au début du XXe siècle, le Tibet devint le centre d'un enjeu géopolitique, notamment dans le cadre du "grand jeu" qui opposait en Asie centrale l'Angleterre à la Russie. Les Britanniques voulaient ouvrir des voies commerciales au Tibet. Ne recevant aucune réponse du gouvernement tibétain, en 1904, ils pénétrèrent au Tibet et parvinrent à Lhassa. Le treizième Dalaï-lama s'enfuit en Mongolie puis en Chine. En 1910, peu après son retour au Tibet, la dynastie Qing chercha à prendre véritablement le contrôle du Tibet et envoya une armée. Le dalaï-lama trouva refuge en Inde.L'effondrement de la dynastie Qing en 1911 lui permit de revenir au Tibet et de proclamer l'indépendance de son pays. En 1949, Mao proclama la République populaire de Chine. Il affirma la souveraineté de la Chine sur le Tibet et eut les moyens militaires de l'imposer.
Le 28 mars 1959, le gouvernement central chinois décida d’abolir l’esclavage au Tibet. Avec le renversement définitif de la théocratie féodale et monastique tibétaine, on assista à l’émancipation de près de 1 million de serfs, soit 90 % de la population totale.
Après avoir déjoué un complot du Dalaï-Lama (de son vrai nom Tenzin Gyatso) et de ses partisans, le gouvernement chinois décida le 28 mars 1959 d’abolir définitivement le gouvernement théocratique et aristocratique alors en vigueur au Tibet. La terre des monastères a été distribué aux paysans pour qu’ils puissent la travailler sans payer d’impôts pendant vingt ans.
La bombe atomique indienne : le bouddha souriant
Dès le début, c’est-à-dire quand il est devenu manifeste que la révolution chinoise allait se solder par un succès en 1949, les USA ont essayé de convaincre le dalaï-lama de gagner l’exil. Ils mirent de l’argent, toute une logistique et leur propagande à sa disposition. Mais le dalaï-lama et son gouvernement voulaient que les États-Unis envoient une armée sur place comme ils l’avaient fait en Corée et ils trouvèrent donc la proposition américaine trop faible. (Modern War Studies, Kansas University, USA, 2002).
En 1959, les Etats-Unis parvenaient quand même à convaincre le dalaï-lama de quitter le Tibet, mais il fallait encore convaincre l’Inde de lui accorder l’asile. Eisenhower proposait un « marché » à Nehru : l’Inde acceptait le dalaï-lama sur son territoire et les Etats-Unis octroyaient à 400 ingénieurs indiens une bourse d’études afin qu’ils s’initient à la « technologie nucléaire » aux États-Unis. Le marché fut accepté2. En 1974, la première bombe A indienne fut affublée du surnom cynique de… « Bouddha souriant
Le Tibet passa sous le giron impérial de la Chine sous la dynastie des Yuan (1271-1368). Le servage se mit en place progressivement au XIIIe Siècle avec l’établissement d’un système théocratique basé sur des hiérarchies sociales.
L'Angleterre nous a toujours tous manipulés en utilisant soit nos bassesses ou soit en jouant à la vertu en créant des Organismes de Charité, des Religions qui nous disaient de pardonner à nos exploiteurs, ou de s'infilter dans des Organismes Laics comme le Bouddhisme afin de faire disparaître ses vertus comme le fait de s'en servir pour recruter des guérilléros..... Qui peut suspecter un Organisme de Charité d'espionner au compte des Britanniques; qui peut croire que des Religieuses ont 2 visages 2 chemises; qui oserait accuser des religions d'assassiner et de torturer ????? Et pourtant ça se fait couramment!
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Histoire du bouddhisme et du lamaïsme au Tibet
Les défenseurs du lamaïsme tibétain décrivent cette religion comme étant au cœur même de la culture du pays. En fait, le bouddhisme a été introduit au Tibet en même temps que le féodalisme. En effet, autour de l'an 650, le premier roi tibétain, Srong-btsan-sgam-po, était marié à des princesses du Tibet, mais aussi de la Chine. Celles-ci y ont introduit les croyances bouddhistes qui se sont mêlées aux vieilles croyances animistes afin de créer une nouvelle religion : le lamaïsme.Durant le siècle qui a suivi, cette religion a été imposée au peuple par la force. Pour y parvenir, le roi Trisong Detsen avait décrété que :
- celui ou celle qui pointait un moine du doigt devait avoir le doigt coupé,
- celui ou celle qui parlait en mal des moines ou du lamaïsme devait avoir les lèvres coupées,
- celui ou celle qui regardait un moine de travers devait avoir les yeux enlevés.
- Bonjour la non-violence!
XIIIe siècle.
Dans ses récits, le journaliste soviétique a raconté par exemple, le sort fatidique de trois esclaves fugitifs punis avec une énorme charge de bois de trois trous Dans leurs têtes.
Le macabre arrivait avec la mort de l’un des punis, puisque les deux inculpés restants devaient porter le cadavre de leur camarade pendant quelques jours jusqu’à ce qu’arrivât le fonctionnaire de rang déterminé avec la clef pour ouvrir le cadenas unique qui fermait le joug.
De plus, par les rues de la Lhasa, la capitale du Tibet on voyait beaucoup de personnes a qui ont avait coupées le nez, les oreilles ou une main comme châtiment pour des délits et ce conformément aux lois qui régnaient seulement dans l’autonomie et sans validité dans le reste de Chine.
Alors, le Tibet était une région où vivaient 850.000 vassaux ou esclaves et 130.000 moines libres au service des vases.
Et que pouvait-il penser de cela, Dalai Lama, leader d’une doctrine religieuse qui reconnaissait la richesse féodale et l’infériorité du paysan misérable, du moine inférieur, de l’esclave et finalement de la femme ?- Le très vieux fond social esclavagiste des tribus Bote, l'héritage familiale des 33 Rois pré-bouddhiques, près de neuf siècles selon la tradition (1), l'avènement du dharma indien au Tibet (2), et la quasi disparition de l'idéal de gratuité et d'égalité Shakyamunien (3), ont fusionné sous l'apparence d'un fait religieux coercitif institutionnalisé.
"Le travail gratuit sans rachat d'aucune dette, le servage sans l'espoir d'aucun droit, d'aucune liberté" .... Il s'agit de toute évidence d'une déviance/exploitation du dharma. - L’Islam, ennemi principal du Bouddhisme tibétain
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Mohammed, homme de la tribu Kuraish, fera de même à la Mecque. Il ne réussira pas aisément. Les mecquois comme les rois pré-bouddhiques s'opposeront à la destruction des vieux rites et des vieux cultes. - Puis, de 1400 à 1600, les monastères sont construits sur le territoire tibétain et consolident leur pouvoir. Le professeur Michael Parenti rappelle : « C'est d'ailleurs au début des années 1400 que l'empereur de Chine envoie son armée au Tibet afin de supporter le Grand Lama, un homme ambitieux de 25 ans, qui se donne lui-même le titre de dalaï (Océan) lama, maître de tout le Tibet. Il est donc assez ironique de constater que le premier dalaï-lama a été installé par l'armée chinoise. »
- La compagnie de Jésus rencontre le Bouddhisme tibétain
Ainsi, « le monastère de Drepung était l'un des plus importants propriétaires terriens de la planète avec 185 manoirs, 25 000 serfs, 300 lieux de pâturage et 16 000 gardiens de troupeaux ».
La majorité de la population subissait l'exploitation de l'aristocratie religieuse. En 1953, six ans seulement avant l'exil de l'actuel dalaï-lama, « les serfs (environ 700 000 personnes sur une population totale estimée à 1 250 000) forment la majeure partie de la population ». [3]
Certaines personnes appartenaient même à une classe sociale inférieure aux serfs. Les esclaves représentaient 5% de la population. De plus, un grand nombre de moines étaient, en fait, des esclaves en robe (10% de la population).
Et tout ceci n'était rien en comparaison avec le sort réservé aux femmes. Le mot femme, en tibétain (kiemen) signifie littéralement naissance inférieure. Il était interdit aux femmes de lever le regard plus haut que la hauteur des genoux d'un homme lui faisant face, en signe de soumission!
Ceux-ci (56% de la population) étaient considérés comme des êtres inférieurs. Le simple fait de toucher à un maître pouvait signifier le fouet pour le serf fautif. Les maîtres étaient si distants des serfs que, sur la majeure partie du territoire tibétain, ces deux classes sociales parlaient une langue différente!
Avant l'exil du dalaï-lama, 626 personnes possédaient 93% des terres et des richesses et 70% des yaks (les bœufs du Tibet). De ces 626 personnes, 333 étaient à la tête de monastères. Pour parvenir à enrichir ce petit pourcentage de la population, les serfs devaient travailler de 16 à 18 heures par jour!
Le Dalaï-lama actuel, pour sa part, est présenté comme un saint homme pour qui les richesses matérielles ne sont pas importantes. Pourtant, légalement, c'est lui qui possédait le pays entier, incluant sa population. Avant son exil, sa famille contrôlait directement 27 manoirs, 36 pâturages, 6 170 serfs et 102 esclaves. Il se déplaçait sur un trône tiré par des douzaines d'esclaves, pendant que ses gardes du corps frappaient les gens à coups de bâtons afin de lui faire un passage!
Les superstitions transmises au peuple par le lamaïsme étaient nombreuses. Ainsi, lorsqu'une personne tombait malade, elle était tenue responsable de son état, puisqu'elle n'avait probablement pas été assez pieuse. Plus tard, les moines ont même dénoncé l'utilisation des antibiotiques ainsi que les campagnes de santé publiques organisées par les maoïstes. Pour eux, la seule façon de guérir, c'était de prier davantage et de donner de l'argent ou des offrandes aux monastères.
Alors que la famine régnait constamment sur tout le territoire (75% des familles devaient, à l'occasion, se contenter de manger l'herbe des pâturages afin de survivre), un tiers de la production de beurre, la principale source de protéines pour cette population, était brûlée quotidiennement en offrandes aux dieux.
De plus, la notion de karma avait un impact considérable sur le maintien de ce système d'oppression. En effet, selon cette croyance, quand quelqu'un meurt, son âme se voit accorder un nouveau corps. Cette nouvelle vie dépend de la qualité de l'ancienne vie. Ainsi, si une personne a été très pieuse durant son ancienne vie, elle pourra peut-être se réincarner en riche propriétaire d'esclaves. Par contre, quelqu'un qui n'a pas suivi les règles de vie exigée par le lamaïsme risque de renaître dans le corps d'un insecte ou d'une femme!
On le comprend assez vite, l'idée du karma et de la réincarnation encourage l'oppression et l'exploitation, au lieu de dénoncer les injustices. Après tout, si quelqu'un exploite un grand nombre de serfs et d'esclaves, c'est parce qu'il l'a mérité!
En fait, les connaissances étaient jalousement conservées dans les monastères. Pour la population, les moines préféraient inventer une multitude de légendes et de superstitions afin que les gens acceptent leur exploitation.
Avant 1959, les aristocrates possédaient 24 % des terres arables dans la région du Plateau central, les monastères 36,8 % et les anciens fonctionnaires gouvernementaux, 28,9 %. Les serfs autrefois divisés en trois catégories selon leurs possessions (Tralpa, Duchung et Nangsan) étaient la propriété exclusive de leurs seigneurs et de la famille du Dalaï-Lama. Les châtiments corporels (yeux crevés, doigts coupés, tendons de pieds arrachés), ventes, échanges et mises à mort arbitraires étaient alors monnaie courante.En 1733, le VIIe Dalaï-Lama contrôlait 3.150 monastères soit 121.400 foyers !
Mais revenons à une époque plus récente. De vieux villageois de Saixim (District de Doilungdeqen à 50 km au Nord-Ouest de Lhassa) se souviennent parfaitement de 5 serfs battus à mort et de 11 onze autres blessés qui à l’époque “travaillaient” depuis 10 ans dans l’une des innombrables propriétés de l’actuel Dalaï-Lama. De même, à la fin des années 1940 alors que l’actuel Dalaï Lama s’apprêtait à célébrer avec faste son anniversaire, l’ancien gouvernement tibétain avait ordonné aux serfs de préparer des crânes, du sang, de la peau et des tripes humains dans le cadre d’une “cérémonie religieuse”.
L'intervention des maoïstes au Tibet de 1950 à 1959
C'est donc dans ce contexte où une vaste majorité de la population du Tibet était soumise à une exploitation honteuse, que la Chine décida d'agir. En 1949, les communistes prenaient le pouvoir en Chine. En 1950, l'Armée populaire de libération (APL) avance dans les terrains montagneux du sud-ouest de la Chine. À Chamdo, l'APL défait très facilement les forces armées envoyées par les classes dirigeantes du Tibet. Puis, l'APL s'arrête et envoie un message à Lhassa, la capitale tibétaine. La proposition peut se résumer ainsi : le Tibet serait rattaché à la république chinoise et les classes dominantes tibétaines pourraient continuer de gouverner, sous la direction du gouvernement central chinois. Les maoïstes n'aboliraient pas le régime féodal d'exploitation, à moins que le peuple soutienne de tels changements.1950. Là encore, ses déclarations corroborent les souvenirs de nombreux anciens tibétains. Ce retraité de l’armée se souvient parfaitement que :
Ce traité fut signé et, le 26 octobre 1951, l'APL marchait pacifiquement dans les rues de Lhassa.Les esclaves hurlaient et mendiaient. Certains avaient eu leurs jambes coupées par leurs propriétaires, d’autres avaient eu les yeux arrachés ou n’avaient plus de mains. En revanche, les propriétaires étaient vêtus d’habits luxueux, et certains montaient même sur le dos de leurs esclaves. Dans leurs maisons étaient entreposés des chaînes, des fouets et des couteaux.
En fait, Mao était décidé à mener la révolution au Tibet afin de protéger les frontières de la Chine de l'invasion ainsi que pour libérer les serfs tibétains de l'oppression.
Ainsi, malgré les rumeurs que les classes dominantes faisaient circuler parmi les masses (les camions de l'armée étaient censés fonctionner grâce au sang des enfants tués au Tibet...), les camps de l'APL devinrent rapidement de véritables aimants pour les esclaves, les serfs et les moines pauvres en fuite.
Au mois de mars 1959, des moines armés, accompagnés de soldats tibétains, attaquent les forces armées révolutionnaires installées à Lhassa. Au même moment, les classes dominantes déclenchent un mouvement de révolte le long de la frontière avec l'Inde. Cependant, grâce à un appui important parmi les masses, les communistes sont parvenuEs à freiner cette révolte en quelques jours seulement.
C'est à ce moment que le Dalaï-lama s'est exilé en Inde. Les lamaïstes décrivent cette fuite comme un événement héroïque, presque mythique. On sait maintenant que cet exil avait été organisé par la CIA, qui souhaitait faire du dalaï-lama un symbole contre la révolution maoïste.
L'une des premières actions du nouveau gouvernement fut de soulager le lourd fardeau des serfs. Sous le dalaï-lama, ceux-ci devaient remettre 75% de leurs récoltes à leurs maîtres. Cette « taxe foncière » fut immédiatement réduite à 20%. De plus, toutes les dettes qu'avaient contractées les serfs furent effacées. Le travail forcé fut aboli et les esclaves libérés.
Privés des lourdes taxes foncières qu'ils prélevaient auparavant, les monastères commencèrent à dépérir. Environ la moitié des moines quittèrent alors pour aller travailler.
Ce groupe PATRIARCAL disparu en façade
Les révolutionnaires travaillèrent aussi à changer le statut réservé aux femmes. Le slogan qui fut utilisé (« Hommes et femmes, nous sommes tous égales et égaux ») en dit long sur l'importance des changements en cours. La redistribution des terres favorisa d'ailleurs grandement la disparition de la polyandrie, puisque les femmes ne subissaient plus les mêmes pressions pour marier tous les frères d'une même famille.
« En 1961, des centaines de milliers d'acres appartenant légalement aux seigneurs et aux lamas ont été redistribués [...]. Les pâturages, jusqu'alors propriété des nobles, ont été transformés en propriétés collectives pour les bergers pauvres. De nouvelles techniques en élevage et en agriculture furent introduites, ce qui augmenta grandement les rendements. »
On a souvent accusé les maoïstes d'avoir interdit la pratique religieuse au Tibet. Dans les faits, c'est l'exploitation des serfs et des esclaves par les autorités religieuses qui a été interdite. Pour la première fois depuis des siècles, les gens étaient libres de pratiquer ou de ne pas pratiquer le lamaïsme. C'est par milliers que les moines, forcés de vivre dans les monastères alors qu'ils n'étaient encore que des enfants, décidèrent librement de quitter cette vie pour retrouver leurs familles.
Évidemment, tous ces changements ne se sont pas faits sans violence. La lutte de classes était présente sur tout le territoire. Pour les masses, c'était toutefois la seule façon de conquérir le pouvoir et d'empêcher le retour de l'exploitation sauvage.
Pendant ce temps, les exiléEs vivaient une toute autre situation. 80% d'entre eux et elles se sont retrouvéEs en Inde. Le gouvernement indien ne souhaitait pas retrouver tous ces exiléEs tibétainEs concentréEs dans une même région. C'est pourquoi ils et elles furent disséminéEs dans une vingtaine de camps différents.Le dalaï-lama et son entourage ont alors trouvé une façon simple de déterminer dans quel camp chaque personne devait être envoyée. Les exiléEs les plus pauvres (serfs et esclaves) furent envoyéEs dans les camps du sud de l'Inde, où le taux de mortalité était très élevé à cause de la chaleur et de l'humidité auxquelles les TibétainEs n'étaient pas habituéEs. Les gens des classes dominantes ainsi que le dalaï-lama et son entourage demeurèrent dans les camps du nord, beaucoup plus confortables. De plus, à cette époque, l'Inde était elle aussi un pays semi-féodal et craignait la révolution maoïste qui se rapprochait de ses frontières. Le dalaï-lama prépara une entente avec le gouvernement Nehru : en échange de la possibilité pour les TibétainEs de s'installer dans les camps, plusieurs milliers d'exiléEs pauvres furent donnéEs au gouvernement indien afin de faire des travaux forcés. Ceux-ci et celles-ci ont été envoyéEs dans les montagnes afin de construire des routes en vue d'une intervention militaire contre la Chine.
En 1995, on évaluait que le nombre de TibétainEs travaillant encore dans ces camps militaires se situait entre 18 000 et 21 000. Leur salaire - 30 sous par jour - ne suffit même pas à acheter une quantité suffisante de nourriture. Quand ils et elles ne meurent pas de faim, ils et elles meurent épuiséEs par le travail! L'oppression que vivaient les femmes au Tibet a été rigoureusement maintenue dans les camps indiens. Ainsi, elles doivent obtenir la permission d'un homme pour sortir du camp, elles n'ont pas le droit de vote et elles passent en dernier quand vient le temps d'allouer des places dans les écoles.
Le Bouddhisme au service de la Guerre Froide
L’« Océan de Sagesse » ne doit pas servir à noyer le poisson de la mémoire et de l’histoire . . . Le négationnisme n’est pas soluble dans les neiges éternelles. . . .
Le dalaï-lama met, depuis soixante ans, son point d’honneur à ne pas parler de la mission au Tibet confiée en 1938 à son précepteur par Hitler et Himmler, ni des motifs mystiques, racistes et stratégiques de cette mission. Le maître (spirituel) a eu ce maître (d’école). Il lui reste fidèle. Le Dalai-Lama s’est inscrit à la SA en 1933, à la prise de pouvoir par Hitler. Passé à la SS, il est un favori du Reichsführer Heinrich Himmler. Quelques mois après, autre « première » : ses camarades SS et lui-même sont vainqueurs des synagogues brûlées et des familles juives terrorisées, sur tout le territoire de l’Allemagne, lors de ce qu’ils nomment par dérision « la nuit de Cristal », le 9 novembre 1938... Pendant que les Juifs passent à la nuit et au brouillard, Harrer est investi d’une mission par Hitler et Himmler en personnes : s’infiltrer au Tibet, en accord avec les ministres régents du dalaï-lama enfant, pour devenir précepteur de celui-ci. En pleine guerre d’agression contre la Chine japonaise, il s’agit de conquérir Lhassa comme nœud stratégique sur l’axe Berlin-Tokyo. .
La Grande révolution culturelle prolétarienne (1966-1976)
Pendant que le féodalisme reculait au Tibet, un nouveau combat s'amorçait, au cœur même de la Chine. Une partie importante des dirigeantEs chinoisES commençait à croire que la révolution était allée assez loin. Ces personnes, se drapant du communisme, souhaitaient en réalité un retour au capitalisme. Cette voie (le révisionnisme) mettait en grand danger les acquis de la révolution et la poursuite des changements nécessaires afin de parvenir à construire une société communiste, sans classes sociales et sans exploitation. C'est en 1966 que Mao, en appelant les masses à faire feu sur le quartier général, déclenchait cette véritable révolution à l'intérieur de la révolution : la Grande révolution culturelle prolétarienne (GRCP).Sur tout le territoire chinois, des gardes rouges furent formés afin de lutter contre les forces révisionnistes. Le choc entre communistes et révisionnistes a été brutal, violent! Et le Tibet n'a pas été épargné par ce mouvement révolutionnaire. Toutefois, contrairement à ce qui a souvent été dit, la GRCP n'a pas été imposée au Tibet de l'extérieur, par l'utilisation de gardes rouges chinoisES. Les TibétainEs étaient impliquéEs directement dans cette lutte. La majorité des gardes rouges combattant au Tibet étaient d'anciens serfs ou d'anciens esclaves tibétains. Les forces révisionnistes provenaient, pour leur part, des classes espérant reprendre le pouvoir et l'exploitation des serfs après la défaite de la GRCP.
À partir de 1969, de grands changements furent tentés afin de faire de nouveaux pas dans la construction du socialisme. Ainsi, après que les terres eurent été redistribuées aux paysans au début des années 60, les inégalités sociales ont commencé à réapparaître.
Les paysans plus riches prenaient le dessus sur les plus pauvres et pouvaient ensuite racheter leurs terres. En 1969, pour contrer ce phénomène, les révolutionnaires créèrent des communes populaires. Les méthodes collectives utilisées pour construire des routes servaient maintenant en agriculture. Les terres étaient alors possédées par plusieurs paysanNEs, de façon collective. Puisque chacun pouvait s'appuyer sur le travail du groupe, plusieurs nouvelles cultures furent tentées. Ceci permit de doubler la production de nourriture au Tibet.Mais le plus important, c'est que la GRCP œuvrait à détruire les vieilles superstitions religieuses dont se servaient les lamas pour maintenir leur pouvoir sur les masses.
Plusieurs supporters du féodalisme tibétain ont accusé les communistes d'avoir commis un véritable génocide culturel en détruisant les monastères. Dans les faits, la presque totalité de ces monastères ont été détruits par les TibétainEs eux-mêmes. On peut d'ailleurs comprendre la colère qui pouvait animer ces anciens serfs et esclaves quand ils pouvaient, pour la première fois de leur vie, contempler les richesses amassées par les moines grâce à l'exploitation des masses. Malgré cela, plusieurs objets ont été conservés pour que les générations futures puissent connaître cette période de l'histoire du Tibet.
Le Dalaï-lama est un véritable caméléon, prêt à dire n'importe quoi et son contraire afin d'atteindre son but : regagner le droit de diriger un pays exploitant les serfs et les esclaves. Ses nombreuses sorties l'ont d'ailleurs rendu très populaire en Occident.
En fait, depuis la victoire des révisionnistes, la lutte de classes n'a jamais cessé au Tibet. Les masses sont tout à fait conscientes que l'exploitation est de retour, mais maintenant, elles savent qu'elles ont la capacité et la puissance nécessaires pour reprendre le pouvoir un jour. Les exploiteurs tibétains, comme ceux du reste de la planète, sont assis sur une bombe. Leur victoire pourrait être de bien courte durée.
CONNEXION DU BOUDDHISME MODERNE AVEC LA CIA
C'est seulement en 1959, quand il fuit en Inde la ville de Lhassa bombardée, que le jeune dalaï-lama dit «comprendre vraiment».
Guérilla. Son frère aîné, Gyalo Thondup, avait compris deux ans plus tôt. Il établit des contacts avec la CIA américaine et, en 1957, organise l'entraînement à Guam et dans le Colorado de guérilleros tibétains parachutés au Tibet par les Etats-Unis. Le dalaï-lama explique que dès 1956, bien que son grand frère lui dise peu de chose, il «se doutait qu'il y avait ce genre de contacts avec la CIA». Il est mis au courant, dit-il, en 1958. La lutte armée durera 17 ans, jusqu'en 1973, avec l'accord tacite du dalaï-lama qui affirme avoir été tenu «seulement à moitié au courant» par son frère. «La guérilla tibétaine basée au Mustang à partir de 1960 était également commandée par mon frère avec l'aide de la CIA.
Des campagnes de recrutement de guérilleros qui avaient lieu au Sikkim et à Darjeeling===============
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Les bouddhistes modernes se sont éloignés des bonnes choses du Boudhisme d'autrefois.
Ces moines atteignent des sommets de sagesse, balayant même devant eux pour ne pas risquer de marcher sur un insecte et pourtant ils contribuent aux abattages d'autres animaux pour consommer leurs chairs.
Le bouddhisme est issu des enseignements de Siddhārtha Gautama.
Le bouddhisme comme nous le savons est une mode de vie spirituelle et elle est axée surtout sur l’ascétisme ou le renoncement aux plaisirs qui est source de douleur ou souffrance (dukkha) pour suivre la voie du bouddha (dhamma) afin d’atteindre le nirvana. Le Bouddha ne s’est jamais prononcé sur Dieu. Le bouddhisme est aussi une religion des énergies : énergies négatives transmutées positivement, démons devenus protecteurs, déités, mandalas, rituels symboliques, médecines et yogas. L’ésotérisme magique, fortement discuté à l’intérieur du bouddhisme : les réincarnations, les prédictions, l’astrologie, les tantras.
Et cette fausseté de la la philosophie bouddhiste qui préconise que « l’existence est faite de souffrance (dukkha) alors il faut éviter les plaisirs par le renoncement ou le non-soi pour ensuite suivre la voie du Bouddha (dhamma) afin d’atteindre le nirvana!»
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HISTOIRE DU BOUDDHISME
On pourrait penser que ces pratiques spirituelles promouvant la paix intérieure et le respect d’autrui conduiraient à une société idyllique où régneraient la justice et l’harmonie. L’histoire ancienne et récente du Tibet semble, à bien des égards, indiquer le contraire. Pendant des siècles, la société tibétaine a évolué sous la forte influence du bouddhisme, au point où le chef religieux était aussi considéré comme un chef politique.
Cette association du politique et du religieux perpétua, jusqu’au milieu du XXe siècle, un système féodal abusif entretenu par la noblesse et les moines. Puisque le travail des moines est essentiellement religieux, une certaine partie de la population devait pourvoir à leur subsistance : les serfs, qui représentaient, selon certaines estimations 5, 60 % de la population (dont un petit pourcentage controversé d’esclaves) et les nomades environ 20 %. Les serfs travaillaient sans rémunération sur des terres appartenant à de grands propriétaires terriens. Les nomades gardaient des troupeaux de yaks et de moutons appartenant en grande partie aux classes privilégiées. De récentes statistiques chinoises précisent que 62 % des terres arables appartenaient soit à la hiérarchie religieuse (37 %), soit aux aristocrates (25 %) 6. Un système complexe de taxes permettait au gouvernement, aux aristocrates et aux religieux de profiter du travail de la plus grande partie de la population. Les serfs qui ne pouvaient payer les taxes exigées s’endettaient, souvent à des taux usuraires. De plus, ils devaient pourvoir eux-mêmes à la « corvée du transport », l’une des charges les plus
importantes, soit prêter gratuitement aux agents du gouvernement, sur présentation du permis approprié,
les animaux requis pour leur permettre de se déplacer sur les terres qu’ils cultivaient. Les contrevenants aux lois du servage et les criminels encouraient de sévères punitions : de 100 à 1000 coups de fouet, selon l’offense ; amputation de main, de jambe ou des yeux pour les crimes les plus graves 8. La fréquence de ces peines barbares, surtout au XXe siècle, est controversée.
Un système aussi injuste ne peut se maintenir qu’en tenant la population dans l’ignorance et la vulnérabilité. Des statistiques chinoises citent un taux d’alphabétisation de moins de 10 % avant 1950, alors qu’aujourd’hui, sous le régime chinois, plus de 95 % des jeunes tibétains fréquenteraient l’école primaire. Selon cette même source, l’espérance de vie aurait augmenté de 36 ans (ce qu’elle aurait été sous la gouverne des lamas) à 67 ans aujourd’hui. Système monastique Un aussi grand nombre de moines requiert un système efficace de recrutement. Seule une faible minorité de citoyens choisira librement le célibat et une vie de prière. Au Tibet, c’étaient en majorité les parents de jeunes enfants qui les remettaient aux autorités des monastères pour en faire des moines. Typiquement, les jeunes garçons avaient entre 7 et 10 ans au moment de leur entrée dans la vie monastique. Si les effectifs obtenus « volontairement » n’étaient pas suffisants, ils étaient conscrits. Mais pourquoi aussi jeunes ?
Le quatorzième dalaï-lama a suivi un parcours particulier pour devenir moine, car il représente la réincarnation du lama précédent. Deux ans après la mort de ce dernier (en 1933), le régent du Tibet vit en
songe près d’un lac sacré un monastère au toit doré et une maison aux étranges gouttières. Deux ans plus
tard, on retrouve un temple et la maison dans laquelle se trouvait un étonnant bambin de deux ans (Lhamo
Dhondrub) qui identifia des objets ayant appartenu au treizième dalaï-lama comme étant les siens. Rebaptisé
Tenzin Gyatso (Océan de sagesse), il fut ordonné moine novice à l’âge de quatre ans. Commença alors
pour lui une vie d’étude stricte au palais du Potala dans le but de le former à devenir le prochain dalaïlama.
Sur l’avis d’un Oracle d’État, il fut nommé chef spirituel et temporel du Tibet à l’âge de quinze ans, bien qu’il ne termina ses études que quatre années plus tard.
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VOICI LES 4 GRANDS MENSONGES DU BOUDDHISME
ANNEXES
AMI(E)S CHINOIS, LISEZ BIEN CECI
La Concurrence est utilisée par les Britanniques pour voler les Pays, et que la France et que M.Sarcosi embarquent niaiseusement dans ces idéologies anarchistes, de divisions, et anti-fraternelles. Et en suiveux, au lieu d’unir nos forces et de ne laisser personne nous affaiblir par l’esprit militaire du ‘’diviser pour régner’’ : il prône comme tous les généraux-pions le feraient une économie archaique encore fondée sur les chevaliers-de-la-concurrence. Sommes-nous insignifiants ou toujours incapables de nous déconditionner des mentalités de guerre qui persistent ?
Nous ne sommes pas des ressources humaines ni des machines à travailler ou à vendre au Dieu-Entreprise et à sacrifier à l’Économie. Nous ne sommes pas des valeurs marchandes d’économie ni du matériel à exploiter pour un usage déterminé par des milliardaires mondialistes élitistes qui croient en l’esclavage et aux hiérarchies qui rapportent. Nous sommes des but, des finalités : pas des moyens.
Hélas, le vol est installé et déplorablement légalisé entre nous par la Concurrence, la Compétition, les Hiérarchies, la Valorisation maladive pour conformer, l’Équité et le Mérite, l’Élitisme, les taxes et les impôts... Rendons-nous en bien compte. C’est pour nous voler qu’on nous jette dans la concurrence et la compétition.
Le courage d'ouvrir les yeux, de sortir de ses dépendances afin de ne plus en faire souffrir les autres....
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L’Humanisme reconnaît les droits de tous sans exception à une vie décente ; à la sécurité financière pour passer à autres choses que des problèmes d’argent ; de vivre sous une Économie de l’Entraide et du Partage entre des États devenus Humanistes ; et que tout dans une société soit fondé sur les Valeurs Fraternelles.
« La valeur d’une personne ne se définit pas au mérite ni à l’effort ».
Cessez de vous empêcher les uns les autres en vous taxant de communistes ou d’anarchistes dès que l’un d’entre vous parle de Partage, d’Égalité, de Valeurs Fraternelles et d’être responsable face aux autres.
Ne taxez plus de ''communistes'' ou de ''socialistes'' une personne dès qu'elle vous parle de Partage, d’Égalité économique et de revenus, de Valeurs Fraternelles et d’être responsable face aux autres.
7 milliards d’humains qui ont tous les mêmes besoins de bases et les mêmes droits économiques et sociaux
.... blog en amélioration.... à suivre ....
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p. s.
LIBERTÉ d’EXPRESSION DE CHACUN
Déclaration Universelle des Droits de l'Homme:
Article 19: "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit."
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par Viny Eden, mon e-mail soleilpourtous@hotmail.com
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