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Déclaration Universelle des Droits de l'Homme: Article 19: "Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit."
À LIRE ET RELIRE
La Santé, parlons-en, saviez-vous que des enquêtes et des questionnaires montrent que trois docteurs sur quatre (donc 75%) refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes, en cas de cancer en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain.
Voici ce que de nombreux docteurs et scientifiques ont à dire à propos de la chimiothérapie :
— Le docteur en médecine Allen Levin : « La plupart des patients atteints de cancer dans ce pays meurent de la chimiothérapie. La chimiothérapie ne fait pas disparaître le cancer du sein, du côlon ou du poumon. Cela est prouvé depuis plus d'une décennie et pourtant les médecins utilisent toujours la chimiothérapie pour traiter ces tumeurs. » (in The Healing of Cancer 1990).
“Si je devais contracter le cancer, je ne recourrais jamais à un certain modèle thérapeutique pour soigner cette maladie. Les patients du cancer qui se tiennent éloignés de ces centres ont une certaine chance de s’en sortir.”
(Prof. Georges Mathé “Scientific Medecine Stymied”, Médecines Nouvelles, Paris, 1989)
“Le Dr Hardin Jones, conférencier à l’université de Californie, après avoir analysé pendant de nombreuses décennies les statistiques de survie au cancer, est parvenu à cette conclusion : “ … Quand ils ne sont pas traités, les patients ne vont pas plus mal, ils vont même mieux.” Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées”.
(Walter Last, “The Ecologist”, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)
“Nos prescriptions les plus efficaces sont très risquées, ont des effets secondaires et comportent des problèmes pratiques, et après que tous les patients que nous avons traités ont payé leur dîme, seul un minuscule pourcentage d’entre eux est remboursé par une période éphémère de régression tumorale et généralement partielle.” (Edward G. Griffin, “World Without Cancer”, American Media Publications, 1996)
“Plusieurs scientifiques à plein temps au Centre du Cancer Mac Gill ont envoyé à 118 docteurs, tous experts du cancer du poumon, un questionnaire pour déterminer le niveau de confiance qu’ils avaient dans les thérapies qu’ils appliquaient; on leur a demandé d’imaginer qu’ils avaient eux-mêmes contracté la maladie et laquelle des six thérapies expérimentales actuelles ils choisiraient. 79 docteurs ont répondu, 64 d’entre eux ont dit qu’ils ne consentiraient pas à subir un traitement contenant du cis-platine – un des médicaments chimiothérapeutiques communs, tandis que 58 sur 79 croient que toutes les thérapies expérimentales ci-dessus ne sont pas acceptables en raison de leur inefficacité et du niveau élevé de toxicité de la chimiothérapie.” (Philip Day, “Cancer : Why we’re still dying to know the truth”, Credence Publications, 2000)
“Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique des tumeurs de Heidelberg-Mannheim, a étudié et analysé de manière exhaustive les principales études et expérimentations cliniques effectuées sur la chimiothérapie: “ … Abel a découvert que le taux global mondial de résultats positifs résultant de la chimiothérapie était effrayant, parce que, simplement, nulle part nous n’avons de preuve scientifique à notre disposition démontrant que la chimiothérapie est capable de “prolonger d’une manière appréciable la vie des patients affectés par les types les plus communs de cancer des organes.” Able met en lumière le fait que rarement la chimiothérapie améliore la qualité de vie, il la décrit comme désolante du point de vue scientifique et maintient qu’au moins 80% des chimiothérapies administrées dans le monde sont sans valeur. Mais, même s’il n’y a pas de preuve scientifique, quelle qu’elle soit, que la chimiothérapie marche, ni les docteurs ni les patients ne sont préparés à l’abandonner.”
(Lancet, Aug. 10, 1991)
La chimiothérapie nous vient de la recherche sur les armes chimiques de la Seconde Guerre mondiale, et a fait son apparition dans les années cinquante. Et puis, ces médecins eugénistes ont continué d'augmenter le taux de mortalités en utilisant des procédés cancérigènces comme la chimio.....
Le fait d’utiliser des poisons dangereux et mortels en médecine n’est pas nouveau. Dans son ouvrage Cancer: médecine traditionnelle et médecine alternative, Jane Heimlich rappelle que, tout au long du XIXe siècle, l’on a prescrit une potion de mercure appelée Calomel, et ceci pour soigner à peu près toutes les maladies. Ce traitement administré au long cours était souvent fatal. L’on recommandait 5 à 10 grains à prendre la nuit. Ceci représentait 320 à 640 mg de chlorate de mercure. . . . Des études menées en 1984 précisèrent que 500 mg de ce sel pouvait entraîner la mort. Donc, pendant près d’un siècle, les médecins ont allègrement «exécuté» leurs malades par empoisonnement, sans trop se poser de questions.
L'ART DE TUER LÉGALEMENT
Une personne m’a raconté après avoir reçu une chimiothérapie, que l’infirmière lui avait dit pendant le branchement: «Il ne faut pas qu’une seule goutte du produit sorte de la seringue, car ses vapeurs attaquent les bronches et cela laisserait une marque indélébile sur votre peau». Lorsque l’on pense que c’est cela qui est diffusé dans les veines, ça fait froid dans le dos!
Plus « cocasse » encore, un scoop relevé dans le Figaro il y a une dizaine d’années m’a été rapporté: trois morts dans une salle d’opération parmi le personnel médical suite à l’ouverture de l’abdomen d’une patiente. Elle venait de recevoir une chimio, et des gaz très toxiques ont été libérés.
Par exemple: 20 séances et par 60000 cancéreux chimiqués par an
(en voie de progression constante), cela donne sur une base moyenne de 4500 $,
le chiffre de 90.000 $ que rapporte chaque cancéreux,
et cela pour un jackpot annuel de 5,4 milliards $.
Par ailleurs, sachant que le coût de fabrication de ce type de produits initialement à vocation militaire doit être dérisoire, l’on imagine les profits colossaux générés dans la chaîne de distribution et l’on comprend que personne n’a intérêt à ce que le cancer soit éradiqué. Alors, malheur aux Géo-trouv’tout!
“Aucun des principaux media n’a jamais mentionné cette étude exhaustive; elle a été complètement enterrée.”
(Tim O’ Shea, “Chemotherapy – An Unproven Procedure”) “Selon les associations médicales, les effets secondaires notoires et dangereux des médicaments sont devenus la quatrième cause principale de mortalité après l’infarctus, le cancer et l’apoplexie.” (Journal of The American Medical Association, april 15, 1998)
“Après tout, et pour une majorité bouleversante de cas, il n’y a aucune preuve que la chimiothérapie prolonge les attentes de survie. Et c’est le grand mensonge de cette thérapie, qu’il y a une corrélation entre la réduction des tumeurs et le prolongement de la vie du patient.”
(Philip Day, “Cancer : Why we’re still dying to know the truth”, Credence Publications, 2000)
Il est bien reconnu que le problème de cette pratique est qu’une série de traitements de chimiothérapie détruit aussi couramment les cellules saines ce qui a pour effet de nuire au système immunitaire du corps, et, en même temps, de causer des ravages sur d’autres parties du corps.
En plus de la perte de cheveux, les nausées, les vomissements, la fatigue, la dépression
• La perte de moelle osseuse, l'anémie et une faible numération de globules blancs pouvant engendrer une grave infection
• Des dommages au système immunitaire et aux organes vitaux
• La déformation de l’ADN des cellules saines, les rendants précancéreuses, et la mort, en raison des complications créées par la chimiothérapie à fortes doses.
L’anémie due à la chimiothérapie augmente le risque de la récurrence localedes cancers voire de la mortalité
Jusqu’à ces dernières années on parlait de rémission des cancers et en aucun cas de guérison. Mais depuis deux ou trois ans — c’est-à-dire 2006 — on proclame que l’ « on guérit un cancer sur deux ». C’est le cas des publicités télévisuelles de la Ligue contre le cancer et de celles de l’A.D.E.C.A. En dépit de son sigle trompeur, l’ADECA manque de cas puisque, non contente de poursuivre les citoyens qui ont franchi la cinquantaine de courriers leur proposant une coloscopie afin de détecter un éventuel cancer colorectal, elle finance des publicités télévisuelles assurant qu’on guérit sans difficulté ce type de cancers, pris à temps.
Il s’agit d’une contrevérité éhontée, parce qu’on ne guérit rien du tout. Au mieux, en cas de succès, il ne s’agirait que d’une rémission à 5 ans. La revue Clinical Oncology (Oncologie clinique) a publié en 2004 un article intitulé : The contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies (La contribution de la chimiothérapie cytotoxique à la survie à 5 ans d’adultes atteints de tumeur maligne) ; Clinical Oncology, 2004 ; 16 :549-560. Il ne s’agit donc en aucun cas de guérison mais de survie à 5 ans, dans le meilleur des cas.
Au bout de 20 ans de recherches, force est donc de constater que le taux moyen de succès des chimiothérapies est d’environ 2,2 pour cent. Vous avez bien lu : sur 100 patients traités, seuls 2,2 patients survivent. Voici la conclusion à laquelle sont arrivés les auteurs de l’article, G. Morgan, R. Ward et M. Barton, trois professionnels australiens qui ont étudié les données d’études cliniques du traitement des cancers par chimiothérapie, au cours des 20 dernières années, tant en Australie qu’au Etats-Unis. Les trois chercheurs appartiennent au Department of Radiation Oncology, Northern Sydney Cancer Centre, Royal North Shore Hospital, Sydney, NSW, Australie. Le résultat de leur rapport est accablant : le taux moyen de survie est de 2,2%, ce qui signifie 97,8% d’échecs !
Ils ont donc constaté que, « en ce qui concerne la survie à 5 ans — et non pas la guérison ! —, et bien qu’en Australie seuls 2,3 % des patients tirent profit d’une chimiothérapie et qu’aux États-Unis, il n’y en ait que 2,1 %, on continue malgré cela à proposer ces mêmes thérapies aux patients cancéreux. Au total, ce sont les données de 72.964 patients en Australie et de 154.971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie, qui ont été étudiées. Personne ne peut donc prétendre qu’il ne s’agit que des données de quelques patients, qui seraient insignifiantes.
Eugénisme médical
Les auteurs se demandent pour quelle raison on continue de proposer aux malades une thérapie inefficace dans tout près de 98% des cas, précisément 97,8%. D’autant que leur rapport montre qu’aux Etats-Unis, depuis 1985, les résultats de la chimiothérapie ont été de 0% — c’est-à-dire nuls ! — en ce qui concerne les cancers du pancréas, le sarcome des parties molles, le mélanome, les cancer des ovaires, de la prostate, des reins, de la vessie, les myélomes multiples et les tumeurs cérébrales.
Pour le cancer de la prostate, par exemple, rien qu’aux États-Unis, 23.000 patients ont été analysés. Mais les « taux de succès » sont dérisoires : 1,4 % pour le cancer du sein, 1,0 % pour le cancer de l’intestin et 0,7 % pour le cancer de l’estomac. Et ceci après 20 années de recherches intensives dans le domaine de la chimiothérapie et l’investissement de milliards de dollars provenant de fonds pour la recherche et de dons faits aux grandes organisations pour le cancer.
Logiquement, on devrait maintenant reconsidérer toute cette pseudothérapie des cancers. Bien entendu, on n’oublie pas qu’un cancéreux, qu’il appartienne aux 2% de survivants ou aux 98% de défunts rapporte en moyenne non loin 152.000 €, soit environ 1 million de francs. Les auteurs de l’article pensent que le plus probable est que l’on va tout faire pour prouver qu’on ne s’est pas trompé, que le triplet chirurgie, radiothérapie et chimiothérapie était le bon choix.
Il est évidemment toujours difficile de reconnaître qu’on s’est aussi lourdement trompé. On s’est engagé dans une voie sans issue, une impasse. Il n’y a pas d’autre solution que de changer de direction, de reconnaître qu’on a gaspillé des milliards de dollars et des vies humaines , pendant près d’un siècle, pour guérir… mis non pour obtenir la rémission à 5 ans au mieux de 2,2% des malades !
La chimiothérapie est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires. Et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anti-cancéreux. »
Ironie macabre, feu le célèbre et très médiatique Pr Léon Schwartzenberg, qui n’avait pas hésité à déclarer à la télévision que, pour que Mars — l’ouvrage de Fritz Zorn qui attribuait son cancer qu’il qualifiait de «maladie de l’âme» aux «larmes rentrées», c’est-à-dire à un conflit vital qu’il avait vécu, sans l’exprimer, dans le silence et l’isolement —, ait une valeur scientifique, il aurait fallu qu’il l’écrive, sans savoir qu’il avait le cancer. Ironie macabtre, dis-je, puisque ce célèbre «cancérologue», qui ne connaissait rien d’autre en la matière que la chirurgie suivie de radio et de chimiothérapie, est, dieu merci, lui-même mort d’un cancer qu’il n’a pas plus guéri que ceux de ses patients. Il n’était pas plus cancérologue que je ne suis danseuse hindoue, sa seule spécialité, comme celle d’un charcutier, était le bistouri.
tiré de
http://www.pansemiotique.com/e107_plugins/content/content.php?content.204
AUTRE ARTICLE
La chimiothérapie ne détruit pas les cellules souches cancéreuses du sein. L'échec fréquent des chimiothérapies pour totalement éliminer le cancer du sein s'explique surtout par le fait que le traitement ne détruit pas les cellules souches de la tumeur, ce qui fait qu'elle réapparaît, selon une étude publiée mardi.
Lorsque les médicaments anticancéreux conventionnels détruisent la dissémination du cancer, ils laissent tout de même intactes ses souches
Mensonges
On nous fait croite qu plus de 80 % des patients sont guéris grâce aux progrès de la chimiothérapie associant l'étoposide au cisplatine
En réàlité sur 100 patients cancéreux 70 meurent de toxcicité.... Les causes des décès toxiques sont : un choc septique dû à un Pseudomonas aeruginosa, une aspergillose pulmonaire, une insuffisance rénale accompagnée d'une encéphalopathie, une hémorragie méningée, une encéphalopathie à cytomégalovirus, une hémorragie pulmonaire et une encéphalopathie d'origine non déterminée. Une atteinte de la fonction rénale a été observée dans 50 % des cas : 28 % de grade 1, 16 % de grade 2 et 6 % de grades 3 et 4.
Moi tous les cancéreux que j'ai connus sont morts durant leurs traiements/maltraitements
Statistiques de l'OMS ..... http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs297/fr/index.html
Le cancer est une cause majeure de décès dans le monde, à l’origine de 7,6 millions de décès en 2008, soit environ 13% de la mortalité mondiale.
cancer du poumon (1,4 million de décès)
cancer de l’estomac (740 000 décès)
cancer du foie (700 000 décès)
cancer colorectal (610 000 décès)
cancer du sein (460 000 décès).
Plus de 30% des décès par cancer pourraient être évités. On estime que le nombre de décès par cancer devrait poursuivre sa progression et dépasser 11 millions de personnes en 2030.
la consommation insuffisante de fruits et légumes;
la consommation d’alcool;
la pollution de l’air des villes;
les fumées à l’intérieur des habitations dues à l’utilisation de combustibles solides par les ménages.
On estime qu'une personne sur 2 mourra du cancer