Abécédaire de
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Pendant que sa femme était retournée à son écurie de laquais au palais pour son plaisir, Phil, ce grec a eu des aventures avec tout ce qui avait un trou.
La colombe inversée est un symbole satanique
Chaque organisation existe dans un but spécifique et est sous l'ordre direct du Pape, mais les Papes depuis quelques siècles, sont mis en place par la toute puissante Couronne Britannique
Lord Cecil Rhodes cet homme tres puissant qui controlait la cie diamantaire De Beer, l`Afrique du Sud et la Rhodésie voulait l`expansion mondiale de l`empire britannique.
O.T.O Canada and Montreal
Il y a des liens qui existent entre les CdeC et les mouvements suprémacistes (de type KKK) des États-Unis. L'Abbé Mc Givney qui a fondé les Chevaliers de Colomb était un franc-maçon. C'est d'ailleurs pour cela que le rituel des chevaliers de colomb est exactement le même que celui de la franc-maçonnerie... Il a été inité franc-maçon à la Loge maçonnique des Coeurs Unis de Montréal le 15 sept 1872. Cette information se retrouve également dans les archives du Temple maçonnique de Montréal. De retour aux États-Unis, il a été élevé au grade sublime de Maître maçon le 20 octobre 1875 à la Memorial Lodge 85 de New-Haven.Pour Alec Mellor, catholique et franc-maçon, la réponse est claire : les loges régulières dépendant de la Grande Loge unie d’Angleterre
Homme intelligent, l'Abbé McGivney a volontairement laissé courir le bruit qu'il combattait la franc-maçonnerie afin de cacher son appartenance maçonnique. Mais officieusement, l'Abbé McGivney fut un franc-maçon de haut grade ayant atteint le 32er degré du Scottish Rite le 30 mars 1878. Son nom maçonnique secret était "Infinite Justice" !
La véritable raison du secret des chevalier de Colomb, c'est qu'il assure le renouvellement des membres, la curiosité poussant les gens à s'inscrire. Quand au rites initiatiques eux-mêmes, et bien ils incluent, mais sans en dévoiler les détails, une nuit torride avec une chèvre et une petite séance de jeux lascifs avec des moutons. Comme les nouveaux membres en ont généralement honte lorsqu'ils dessoûlent le lendemain (ah le vin de messe...), cela assure la pérennité du secret. De plus, les photos prises assurent que les nouveaux membres se tiendront tranquille. Voila ! Vous savez tout maintenant...!
Pour monter dans le système et faire parti des cofréries encadrantes: il faut absoluement être bisexuels voir à tout<
Pike était un maçon du 33ème degré, il a été l'un des pères fondateurs et partisan de l'ancien rite Ecossais accepté par la franc-maçonnerie. En 1869, il sera un haut dirigeant dans les Chevaliers du Ku Klux Klan.
Il était le grand maître d'un groupe connu sous le nom de l'Ordre du Palladium de Lucifer (ou "Conseil souverain de la Sagesse"), qui avait été fondée à Paris en 1737. Le Palladisme avait été ramené en Grèce de l'Egypte par Pythagore dans le cinquième siècle avant J.C. et c'est ce culte de Satan qui a été introduit dans le cercle intérieur des loges maçonniques.
UNE PERVERSION ANGLAISE...
N’imaginons rien ; suivons les historiens. Les débuts de la Franc-maçonnerie moderne sont maintenant parfaitement connus. Elle apparaît en Angleterre, à un moment critique de son histoire. « Lorsque s’engagea la lutte entre les Stuarts et le Parlement, puis entre les Stuarts et la Maison d’Orange ou celle de Hanovre, les partis politiques cherchèrent, à l’aide des freemasons, à provoquer ou à simuler des manifestations nationales. » (D.A., col. 100) (…)
Il y eut d’abord, dispersée sur le Continent, une franc-maçonnerie écossaise, de convictions catholiques, royalistes, engagée dans la résistance secrète à la dynastie orangiste, usurpatrice et protestante. (…)
Pour cela, le docteur Désaguliers, protestant émigré à la suite de la Révocation de l’Édit de Nantes, vint proposer à Georges II de faire de la Maçonnerie une association soustraite à l’influence des Stuarts : ainsi fut fondée à Londres, le 24 juin 1717, cette Grande Loge qui est la mère de la Maçonnerie exclusivement spéculative. (…)
Cette Grande Loge, qui deviendra la Grande Loge unie d’Angleterre en 1813, mère de toutes les loges du monde, a reçu du roi anglais protestant pour mission première et illimitée de servir la cause anglo-protestante incarnée par la dynastie d’Orange et Hanovre, et d’abaisser jusqu’à les détruire les puissances exécrées des Papes de Rome, des Bourbons de France et de toutes les dynasties européennes catholiques. Telle fut, telle demeurera, telle est encore aujourd’hui la Franc-maçonnerie anglaise et universelle.
UN SECRET QUI EN CACHE UN AUTRE
(…) Le premier et faux secret, consciencieusement révélé, est, sous une apparence d’humanisme et de philanthropie, le projet d’émanciper les peuples de toute religion et de tout pouvoir oppresseur. Projet que nous avons dit insoutenable dans sa rigueur et son universalité. Mais programme destiné à couvrir le vrai secret au point de duper ses adversaires et jusqu’à ses propres exécutants : sous le masque d’une révolution politique et religieuse universelle, la Franc-maçonnerie de Désaguliers et Anderson a été, est et reste partout l’instrument du protestantisme contre le catholicisme abhorré, et de l’Angleterre contre la France !
Les Jésuites,
espions et assassins du Vatican
Les Jésuites sont connus dans la Franc-maçonnerie comme "les Illuminatis"
Les Jésuites prédominent sur toutes ces organisations infernales, à un tel point que le général des Jésuites, surnommé souvent "le Pape Noir", les surpasse toutes en autorité. Et Londres via ses Chevaliers de Malte gouverne les Jésuites.
Le fondateur des Jésuites fut un Espagnol du nom de Ignace de Loyola (1491-1556), que l'Église Catholique canonisa comme un de ses saints fictifs. Dévoué à la vie militaire, il combattit dans la guerre que le roi Ferdinand livra en Espagne.
Lorsque Loyola se présenta au Pape pour lui offrir ses services, il lui dit en substance: "Que les Augustins continuent à faire des monastères pour que les esprits contemplatifs s'y retirent; que les Bénédictins continuent à se donner à l'œuvre littéraire; que les Dominicains maintiennent la responsabilité de l'Inquisition; mais nous, les Jésuites, nous allons capturer les collèges et les universités. Nous prendrons le contrôle de l'instruction sur la loi, la médecine, la science, l'éducation, ainsi nous extirperons tous les livres d'instruction injurieux à Rome. Nous moulerons les pensées et les idées de la jeunesse. Nous nous engagerons comme des prédicateurs Protestants et des professeurs dans les diverses croyances du Protestantisme. Tôt ou tard, nous réussirons à faire discréditer l'autorité du Nouveau Testament Grec d'Érasme, ainsi que les traductions de l'Ancien Testament qui osent s'opposer à la Tradition. De même nous déprécierons la Réforme Protestante".
En 1540, le pape Paul III promulgua la Bulle d'institution du nouvel ordre, appelé "Compagnie de Jésus", terme militaire des forces mobiles de la Gestapo de la Papauté, et chaque membre devait faire un vœu d'obéissance absolue au Pape.
"Lorsque les soupçons se firent entendre que Loyola avait fondé les Illuminatis, les Jésuites utilisèrent un de leurs membres pour enlever toutes suspicions que ce groupe d'Illuminés fut relié à l'Église Catholique. Ainsi, prétendant qu'il n'était pas un Jésuite, Adam Weishaut devint connu aux yeux du monde, comme le fondateur des Illuminatis".
Petits rappes historiques ......
Si puissant fut le Protestantisme lors du règne de la reine Élisabeth, et si fort l'amour pour la version de Tyndale, qu'il ne se trouvait aucune place ni aucun érudit en Angleterre pour produire une Bible Catholique. Les prêtres furent emprisonné pour avoir participé au complot des Jésuites et plusieurs s'enfuirent sur le Continent. Ils y établirent des collèges où ils instruisirent des adolescents anglais naïfs qu'ils renvoyèrent en Angleterre comme prêtre. Deux de ces collèges y envoyèrent environ trois cent prêtres dans l'espace de quelques années.
Le plus distingué de ces collèges, nommé des Séminaires, se trouva dans la ville de Reims en France. En ce lieu, les Jésuites assemblèrent toute une compagnie de savants; et ils informèrent la Pape de tout changements dans la situation qui se déroula en Angleterre. Ils dirigèrent ainsi tous les mouvements de Philippe II, roi d'Espagne, qui prépara l'invasion de l'Angleterre. La pape Sixte-Quint fit cadeau de l'Angleterre à Philippe II. Celui-ci arma une flotte formidable, appelée orgueilleusement "l'Invincible Armada", pour attaquer l'Angleterre et la ramener aux pieds du Pape.
Le serment secret des Jésuites
On sait que les Jésuites forment l'une des armées secrètes du Pape. Leur devise est bien connue: "La fin justifie les moyens," toujours "pour la plus grande gloire de Dieu" !
Le Serment satanique des Jésuites ...... "Mon fils, jusqu'à présent on t'a enseigné à maîtriser l'art de la dissimulation: à être un Catholique Romain parmi les Catholiques Romains, et même à être un espion parmi tes propres frères ; à ne croire aucun homme, à ne faire confiance à aucun homme ; parmi les Réformés, à être un Réformé; parmi les Huguenots, à être un Huguenot ; parmi les Calvinistes, à être un Calviniste; parmi les autres Protestants, à être en général un autre Protestant; à obtenir leur confiance, et même à t'efforcer de prêcher du haut de leurs pupitres ; à dénoncer avec toute la véhémence dont tu es capable notre Sainte Religion et le Pape; et même à t'abaisser jusqu'à te faire Juif parmi les Juifs, afin de pouvoir rassembler toutes les informations nécessaires à ton Ordre, en tant que fidèle soldat du Pape.
"On t'a enseigné à planter insidieusement des semences de jalousie et de haine entre les communautés, les provinces, et les États qui étaient en paix; à les inciter à commettre des actes sanglants; à les provoquer à la guerre les uns avec les autres, et à déclencher des révolutions et des guerres civiles dans des pays qui étaient indépendants et prospères ; à cultiver les arts et les sciences et à jouir des bienfaits de la paix; à te ranger aux côtés des combattants et à agir secrètement avec tes frères Jésuites qui pourraient être engagés dans la partie adverse, tout en étant ouvertement opposés à la cause que tu défends; pour la seule raison que l'Église puisse toujours être du côté des vainqueurs, dans les conditions fixées dans les traités de paix, et parce que la fin justifie les moyens.
"On t'a enseigné à travailler comme un espion, à recueillir tous les faits, statistiques et informations qui sont en ton pouvoir, de toutes les sources possibles; à gagner la confiance des Protestants et des hérétiques de toutes sortes, jusque dans leurs familles ; à gagner la confiance des commerçants, des banquiers, des avocats, de ceux qui travaillent dans les écoles et les universités, dans les Parlements et les législatures, dans les tribunaux et les Conseils d'État, et dans toutes les institutions des hommes, au profit du Pape, dont nous sommes les serviteurs jusqu'à la mort.
............... "Je déclare aussi et je promets que je n'aurai jamais aucune opinion ni volonté personnelles, aucune réserve mentale, même jusqu'à la mort (perinde ac cadaver), mais que j'obéirai sans hésiter à tous les commandements que je pourrai recevoir de mes supérieurs dans la milice du Pape et de Jésus-Christ ; que j'irai dans toutes les parties du monde où je serai envoyé, dans les régions glacées du Nord, dans les jungles de l'Inde, dans les centres de civilisation de l'Europe, ou dans les endroits sauvages où vivent les tribus barbares de l'Amérique, sans murmurer ni me plaindre, mais en étant soumis dans toutes les choses qui m'auront été communiquées.
"Je m'engage à toujours voter pour un Chevalier de Colomb (NDE: Knight of Colombus, Ordre secret Catholique), de préférence à un Protestant, et surtout à un Franc-Maçon, même s'il faut quitter mon parti pour cela; si deux Catholiques s'affrontent dans une élection, je voterai pour celui qui défendra le mieux notre Mère l'Église. Je ne conclurai aucun contrat, ni n'emploierai aucun Protestant, s'il est en mon pouvoir d'employer, ou de faire affaire avec un Catholique. Je m'efforcerai de placer des jeunes filles Catholiques dans des familles Protestantes, pour recevoir chaque semaine un rapport sur les activités privées de ces hérétiques. Je me fournirai les armes et les munitions nécessaires, pour pouvoir les utiliser quand on me le demandera, ou quand je recevrai l'ordre de défendre l'Église, soit en tant qu'individu, soit avec la milice du Pape.
..... suite du serment abominable .....
"Tout cela, moi, … , je jure, au nom de la Sainte Trinité, et du Saint sacrement que je vais maintenant prendre, de l'observer, selon le serment que je prononce. En témoignage de quoi, je prends ce très Saint sacrement de l'Eucharistie, et confirme mon témoignage par mon nom écrit à la pointe de cette dague, trempée dans mon propre sang, en le scellant en présence de ce Saint sacrement."
(Il reçoit ensuite l'hostie (le dieu galette) du son Supérieur, et écrit son nom à la pointe de sa dague, trempée dans son propre sang, après l'avoir prélevé au-dessus de son cœur).
L'Opus Dei a sans doute pris la succession de l'Ordre des Jésuites, comme fer de lance de la Contre-Réforme engagée par Rome. Nous espérons avoir l'occasion de vous présenter un jour plus en détail l'organisation et les activités de l'Opus Dei.
Jean-Baptiste Janssens avait un plan, qui consistait à éliminer le plus grand nombre possible de bouddhistes, car ces derniers étaient depuis toujours les ennemis des jésuites. Quand les Jésuites investirent le Japon en 1873, que firent-ils ? Ils déclarèrent hors-la-loi la religion bouddhiste et firent en sorte que le gouvernement du Japon ne la tolère plus.
Souvenez vous, en effet : à l'origine, la CIA fut fondée par Reinhard Gehlen, un ancien général nazi, le plus sinistre de tous les généraux d'Hitler.
COMMENT LONDRES CONTRÔLE
LE MONDE VIA SES JÉSUITES
Le pouvoir d L'Angleterre via les Jésuites est l'Université de Stonyhurst. Un Lord anglais, Sir Thomas Well, a fait don de Stonyhurst aux jésuites en 1795, je crois bien (à peu près à l'époque de la Révolution Française et juste avant les Guerres Napoléoniennes). Stonyhurst devint leur fief, la forteresse depuis laquelle l'Angleterre pourraient les utiliser pour tout contrôler. L'Angleterre les introduisirent, et ils furent aidés en cela par le roi George III. Le Roi George était proche des jésuites. Depuis cette époque, tous les monarques anglais les ont utilisés. Le Roi George régna pendant un bon moment. Et la Reine Victoria fit de même ; elle gouverna de 1837 à 1901. Ainsi, sous les règnes de George et de Victoria, ils prirent le contrôle total de l'Angleterre à travers les Jésuites de Stonyhurst. Aujourd'hui l'Angleterre par les Jésuites contrôle depuis l'Institut Royal des Affaires Internationales. Et le Cardinal, par l'intermédiaire duquel ils servent la gouverne, est l'Archevêque de Westminster. Ils ont donc l'Archevêque de Westminster en Angleterre, et l'Archevêque de New York aux États-Unis. Par eux l'Angleterre contrôle les États-Unis depuis Georgetown et Fordham. L'Angleterre contrôle les États-Unis depuis le Conseil des Relations Étrangères. Le système est identique dans les deux pays car il s'agit d'un Empire dans l'Empire, celui du Vatican. C'est de cette façon qu'ils gouvernent. En Russie, l'Angleterre par ses Jésuites contrôle Moscou par l'entremise du Patriarche de l'Église Arménienne. Ce Patriarche est le pendant des Archevêques de Londres et de New York. Et à Moscou, c'est le Patriarche qui supervise le KGB et l'inquisition locale, c'est-à-dire le goulag. Le Patriarche Agagianian fut nommé Cardinal par le pape Pie XII la même année que Spellman fut fait Cardinal de l'Empire Américain.
SORCIÈRES REINES
La famille royale britannique a consommé de la chair humaine
La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans…)
La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans – d’après ce que dit cet article du Daily Mail en tout cas…)
Par FIONA MACRAE
Dernière mise à jour à 00h58 le 21 mai 2011
Ils ont longtemps été connus pour leur amour des banquets somptueux et des riches recettes. Mais ce qui est moins connu, c’est que la famille royale britannique avait également un penchant pour la chair humaine.
Un nouveau livre sur le cannibalisme médicinal a révélé que peut-être aussi récemment que la fin du 18ème siècle la royauté britannique ingérait des morceaux de corps humain.
L’auteur ajoute que ce n’était pas une pratique réservée aux monarques, mais que cette dernière était répandue parmi les gens aisés en Europe.
Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.
Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.
Alors qu’ils dénoncaient les cannibales barbares du Nouveau Monde, ils appliquaient, buvaient, ou portaient de la poudre de momie égyptienne, de la graisse, de la chair, des os, du sang, de la cervelle, et de la peau humaine.
De la mousse prélevée sur le crâne de soldats morts a même été utilisée comme remède dans les saignements de nez, selon le Dr Richard Sugg de l’Université de Durham.
Le Dr Sugg, a déclaré: « Le corps humain a été largement utilisé comme agent thérapeutique, les traitements les plus populaires incluant chair, os, ou sang. »
« Le cannibalisme a été pratiqué non seulement dans le Nouveau Monde, comme on le croit souvent, mais aussi en Europe.
« Une chose qu’on nous enseigne rarement à l’école, alors que les textes littéraires et historiques de l’époque en attestent, est la suivante: James I a refusé la médecine par les corps; Charles II a transformé son propre corps en médecine, et Charles I a été transformé en médecine par les corps.
« Avec Charles II, les utilisateurs ou prescripteurs éminents incluaient François Ier, le chirurgien d’Elizabeth I John Banister, Elizabeth Grey, la comtesse de Kent, Robert Boyle, Thomas Willis, William III, et la reine Mary.
Nouveau monde: Représentation de cannibalisme dans la tribu Tupinamba du Brésil tel que décrit par Hans Staden en 1557. Que ceci soit vrai ou non, le mythe a ignoré le fait que les Européens consommaient de la chair humaine.
L’histoire du cannibalisme médicinal, fait valoir le Dr Sugg, a soulevé un certain nombre de questions sociales importantes.
Il dit: « le cannibalisme médicinal s’est servi du poids formidable de la science européenne, de l’édition, des réseaux commerciaux, et de la théorie informée.
« Alors que la médecine par les corps a parfois été présentée comme une thérapie médiévale, elle était à son comble lors des révolutions sociales et scientifiques du début de la Grande-Bretagne moderne.
« Elle a survécu jusqu’au 18ème siècle, et parmi les pauvres, elle a persisté obstinément à l’époque de la reine Victoria.
« Indépendamment de la question du cannibalisme, l’approvisionnement en parties du corps nous semble désormais très contraire à l’éthique.
« À l’apogée du cannibalisme médicinal, des corps ou des os ont été systématiquement extraits de tombeaux égyptiens et de cimetières européens. Non seulement cela, mais jusqu’au dix-huitième siècle la plus grande part des importations en provenance d’Irlande en Grande-Bretagne étaient constituée des crânes humains.
« Que tout cela ait été pire ou non que le marché noir contemporain d’organes humains est difficile à dire. »
Cette peinture de l’exécution de Charles Ier en 1649 montre des gens se précipitant pour récolter le sang de l’ancien roi. On pensait que ce dernier avait des propriétés curatives.
Le livre donne de nombreux exemples vivants, et souvent dérangeants, de la pratique, allant des échafaudages d’exécution en Allemagne et en Scandinavie, aux tribunaux et laboratoires d’Italie, de France et Grande-Bretagne, aux champs de bataille de Hollande et d’Irlande, et aux tribus anthropophages des Amériques.
Un tableau représentant l’exécution de Charles I 1649 montrait des gens récoltant le sang du roi avec des mouchoirs.
Le Dr Sugg dit: « Cela a été utilisé pour traiter le « mal du roi » – un problème plus souvent guéri par le contact avec des monarques en vie. »
« En Europe continentale, où la hâche tombait systématiquement sur le cou des criminels, le sang était le traitement de choix pour de nombreux épileptiques.
« Au Danemark, le jeune Hans Christian Andersen a vu des parents faire boire à leur enfant malade du sang à l’échafaud. Ce traitement était si populaire que les bourreaux demandaient régulièrement à leurs assistants de recueillir le sang dans des coupes alors qu’il jaillissait du cou des criminels mourants.
« Parfois, un patient pouvait court-circuiter ce système. Lors d’une exécution au XVIe siècle en Allemagne, « un vagabond saisit le corps décapité » avant qu’il retombe, et en bu le sang.. ». »
La dernière instance enregistrée de cette pratique en Allemagne s’est produite en 1865.
Histoire: L’auteur le Dr Richard Sugg, de l’Université de Durham, plonge dans l’univers sombre du cannibalisme médicinal dans son nouveau livre « Momies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires).
Alors que Jacques Ier avait refusé de prendre du crâne humain, son petit-fils Charles II aima tellement l’idée qu’il acheta la recette. Ayant payé peut-être £ 6,000 pour cela, il distillait souvent du crâne humain lui-même dans son laboratoire privé.
Dr Sugg dit: « En conséquence connu depuis longtemps sous le nom de « gouttes de roi », ce remède fluidique a été utilisé contre l’épilepsie, les convulsions, les maladies de la tête, et souvent comme un traitement d’urgence pour les mourants.
« Ce fut la toute première chose que Charles rechercha le 2 Février 1685, au début de sa dernière maladie, et qu’on lui administra, non seulement sur son lit de mort, mais sur celui de la Reine Mary en 1698.
Les recherches du Dr Sugg seront présentées dans un prochain documentaire de Channel 4, avec Tony Robinson, dans lequel ils reconstituent des versions de traitements cannibales plus anciens à l’aide de cervelles, sang, et crâne de porcs.
Le livre, intitulé « Mummies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires) sera publié le 29 Juin par Routledge, et retrace l’histoire de la médecine européenne en grande partie oubliée du cadavre, de la Renaissance à l’époque victorienne.
Voir également cet article du Dr Sugg dans le journal médical The Lancet.
Source: dailymail
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